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bâtiments abandonnés, pas loin de chez vous
il y a quelque temps, je soulignais le reportage photos très étrange d’un pavillon d’université laissé à l’abandon. un commentaire m’a informé depuis (merci fab) qu’il s’agissait de l’université de liège en belgique.eh bien, montréal aussi a son photographe de fin du monde, il s’agit de jogues rivard. sur son site, il est possible de voir plusieurs de ses reportages. il s’agit d’un photographe autodidacte qui fige le temps depuis qu’il a quinze ans. dans un article du devoir du 29 mars dernier, il explique qu’il ne touche jamais à rien, aucune mise en scène. vraiment saisissant.
il expose quelques-unes de ses photos à la galerie monopoli jusqu’au 10 mai.
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motif «pixel»
c’est pas beau ça ? j’adore. le motif «pixel», création de Cristian Zuzunaga, gradué du «Royal College of Art graduate» (UK)via cool hunter
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la république Sans Serriffe
je sais, je suis une journée en retard, mais quand j’ai lu ça sur design observer , je n’ai pas pu résister à le partager.
les médias aiment bien jouer au poisson d’avril. voici une histoire parue dans le journal anglais «the guardian» en 1977.
«On April 1, 1977 the British newspaper The Guardian published a seven-page “special report” about San Serriffe, a small republic located in the Indian Ocean consisting of several semi-colon-shaped islands. A series of articles described the geography and culture of this obscure nation.»alors vous connaissez ça vous, la république San Serriffe ? ils ont imaginé tout le dossier de cette république. à voir : les pubs, les cartes, la documentation créées pour ce poisson d’avril.
comique!
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le design dans nos vies, selon bill buxton
il est toujours intéressant de lire les propos de quelqu’un qui croit profondément à l’importance du design dans le processus de décision au sein d’une compagnie. le design n’est pas simplement l’enveloppe mignonne ou la finition d’un produit. s’il est seulement beau, ce dernier ne restera pas sur le marché. mais un produit fonctionnel agréable à regarder a plus de chance de s’intégrer dans nos vies et d’y rester un certain temps.
à lire, l’entrevue avec bill buxton, dans journal le devoir de vendredi dernier. m. buxton était à montréal pour donner une conférence aux étudiants et enseignants de la faculté de design industriel de l’université de montréal.
voici quelques lignes tirées du texte :
À son avis, pas de création ni de progrès sans risques. «À long terme, la sécurité tue la créativité. Elle est beaucoup plus dangereuse que le risque», répète-t-il comme un mantra.Plus encore, les entreprises qui, par souci d’économie, n’accordent pas au design intelligent la même importance qu’à la technique, au marketing ou à l’administration seront condamnées à l’échec, dit-il. «Y a-t-il un chef du design dans votre entreprise qui prend part aux décisions majeures? C’est la question que doivent se poser les entreprises», affirme cette tête chercheuse.
«En moyenne, dix ans de travail sont nécessaires avant qu’une technologie ne soit commercialisée. Les succès de demain sont toujours fondés sur les réalisations d’hier. Cela signifie que la technologie nécessaire à la création du iPod existait bien avant qu’il ne soit conçu. Cela signifie que ce qui sera une « innovation » dans nos vies demain existe déjà quelque part», soutient ce grand sage à la mèche rebelle.
bonne lecture !
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suite de mes «taggées» créatives
suite à la «tag» créative de marie-chantal, voici une première réponse de mes «taggées».
lire celle de dominique ici.
et celle de mme tods ici.
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le goût de florence
je lis beaucoup depuis quelques mois. j’ai décidé de lire maintenant les livres que j’achète au fil du temps plutôt que «d’attendre le bon moment».dernièrement, j’ai lu la trilogie sur les médicis écrite par sarah frydman
je croisais cette famille de riches florentins par la bande, un peu dans un roman, un peu dans un autre. quand j’ai trouvé cette saga, je me suis dit «voilà, je vais en savoir un peu plus».
effectivement, ils vendaient des armes, mariaient leurs ados à un «bon parti» pour la maison de médicis, mais ils ont aussi bâti, enjolivé, investi dans la ville de florence pour qui ils avaient tous un attachement bien particulier.à suivre cette famille par la lecture, ça m’a donné le goût irrésistible d’y aller
spontanément, j’ai acheté aujourd’hui un guide de voyage et le livre «le goût de florence». il me reste les billets (pas donné…). probablement à l’automne…