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deux reportages photo intriguants
les plantes de bureau laissées à elles-mêmes. c’est l’observation photographique qu’a fait Saskia Grunberg dans des bureaux en allemagne en 2012.
l’attrait d’ajouter un élément organique aux espaces de bureau est indéniable. le sort de ses plantes est parfois à la limite de la survie, ou maintenue avec les moyens du bord. j’aurais aimé pouvoir visionner tout son reportage, mais on en voit quand même quelques-unes sur son site ainsi que son projet d’exposition et le livre qui accompagnait tout le projet.
deuxième lien, des maisons délaissées où le désert a repris ses droits, car elles se remplissent de sable. voici un projet en cours du photographe James Kerwin dont j’ai parlé à quelques reprises. les photos de cette série sont de véritables tableaux. si vous aimez les lieux abandonnés, faire le tour de son site il en présente plusieurs.
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m2, ma participation au dernier #areyoubookenough_shelter
j’ai participé au défi #areyoubookenough de janvier. vous vous souvenez de mon livre sur les jambes? ce mois-ci le thème était «shelter», abri.
j’ai fait des recherches et j’ai trouvé cet article de Tamara Pearson datant de 2016 très intéressant sur la superficie des habitations moyennes dans divers pays. j’ai travaillé à partir de ça.
la structure est en accordéon. j’ai fait des pages avec des bouts de textes tirés de l’article et des pages en monotype où une maison coupée représente la grandeur de l’espace.
ce projet m’a permis de mettre en train ma presse que je n’avais pas utilisée depuis mon déménagement.
je suis contente parce que j’ai réussi à faire un mélange de montage informatique, pour le texte et de gravure.
plusieurs photos sont sur ma page instagram.
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une artiste inspirante
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des rouleaux cachés et 100 jours de créativité
j’adore les trucs, astuces et découvertes artistiques.
cette fois-ci, dans le bulletin de «the curious printmaker» reçu cette semaine, l’artiste Emily Harvey partage l’utilisation des rouleaux qui se trouvent dans la cartouche vide de son imprimante. je n’avais jamais pensé à ça…
comme mentionné, à faire à l’extérieur absolument avant d’ouvrir la chose, **attention**, il reste sûrement de la poudre de tunr qui va s’étendre partout. donc je garde mes cartouches pour plus tard.
les rouleaux ont de très petites circonférences, mais on peut y intervenir et les utiliser pour des motifs ou autre. apparemment, il y aurait un rouleau en caoutchouc et un autre en mousse.
définitivement sur ma liste de chose à faire ce printemps.
ça vous dit de faire un projet 100 jours? cette année est la 8e année de ce projet en ligne et il y a un nouveau départ le 31 janvier prochain. toute l’information est ici.
«#The100DayProject is a free, global art project. The idea is simple: choose a creative project, do it every day for 100 days, and share your process online.»
je mijote à ça. peut-être. je ne l’ai jamais fait.
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livres: une palette naturelle et du pop art
je viens de parcourir le livre «Natural Palettes» de Sasha Duerr.
c’est dans le courant les teintures naturelles qu’on voit de plus en plus. l’autrice explique que la nature est généreuse en couleurs et en teinture. elle compare ses recherches à celle d’un cuisinier qui développe ses recettes.
vous trouverez le nom latin de toutes les plantes et quelques
informations, médicinales et autres. elle nous explique que les couleurs naturelles peuvent varier selon comment la teinture est faite au départ, sur quel tissu on l’utilise et comment on lave la pièce de tissu.
le livre est vraiment une large présentation de chaque élément naturel en quatre variations selon les ajouts qu’on y met: sans mordant, avec de l’alun, avec du fer et finalement avec l’alun et le fer. c’est impressionnant de voir la différence que cela peut faire.
si la teinture naturelle vous intéresse, c’est un bon livre pour voir l’éventail des couleurs. je trouve par contre que l’ajout de photos des végétaux aurait aidé à l’identification. sachez qu’il n’y a pas de «comment faire de la teinture végétale» qui n’est pas le but de ce livre.
pour un autre lectorat, voici le livre pour enfant «Bob goes Pop» de Marion Deuchars (que j’adore). dans cette histoire, deux artistes se confrontent d’une certaine façon sur le pop art et finissent par devenir amis. comme toujours, les dessins sont forts et tous les personnages et œuvres sont magnifiques.
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plan: d’affaire ou pour bricoler?
voici un plan d’affaire pour artiste en 6 étapes. j’avoue que même si vous n’avez pas l’impression de faire des affaires, construire un plan est toujours une bonne idée, ne serait-ce que d’éclaircir un peu pourquoi on crée.
personne ne choisirait la carrière d’artiste pour faire de l’argent. par contre, on est toujours heureux quand quelqu’un achète quelque chose, non? en tous les cas, moi, oui. c’est un signe tangible d’encouragement pour mon travail.
vendre son art n’est pas comme vendre un produit, chaque œuvre est différente. même si vous ne répondez qu’à quelques-unes des questions, ça vous éclairera quand même un peu pour la diffusion de votre créativité. (photo de Gabriella Clare Marino)
maintenant un plan pour bricoler qui nous vient d’une bibliothèque de dublin. faire ce jouet papier où deux pêcheurs sont dans une chaloupe. les dessins sont tirés de gravures anciennes. tout le mécanisme nous est expliqué. il faut télécharger les pages d’images. amusant et sans doute pas si simple à faire. j’adore que les images choisies soient anciennes. ça donne un effet vraiment réussi.
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jouer dehors!
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paysage d’un dimanche
je suis allée boire une (petite) tasse de café devant le lac. il fait -24 à magog aujourd’hui à cause du vent. la lumière est tellement magnifique!!!
je ne suis pas restée très longtemps, vous comprendrez. il manque de bonnes mitaines à mon équipement. au fond, on voit le mont Owl’s Head au loin.
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