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relier des livres, des pages, etc…
voici une reliure collée que vous trouverez sur la page de Masayuki Takabatake. l’intérêt, c’est de couper de multiples pages de toute provenance et d’en faire un petit livre. qui n’aimerait pas ça. une info ici, l’outil qu’il utilise pour couper ses pages sert à couper les photos de passeport apparemment.
j’imagine que quand je feuillette ce genre de chose, je dois avoir la même expression qu’ont d’autre devant un chat ou un bébé… bémol ici, pour avoir déjà essayé, ce n’est pas garanti. mais c’est sans doute ma façon de faire.
sinon, vous pouvez aussi essayer cette reliure de Sibia Torres Padilla inspirée d’une reliure spirale avec un bout de branche et du fil. le résultat est beau, mais je doute de l’aspect pratique. suis-je de mauvaise foi? si vous les essayez, svp m’en donner des nouvelles!
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clins d’œil d’un vendredi
prix photos et de biens beaux petits livres
des vases plus grands que moi
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l’abstraction selon Shirley Jaffe
voici une autre artiste femme que je découvre un peu tard…
voir les œuvres de l’américaine Shirley Jaffe fait plaisir. les couleurs, le mouvement, l’énergie qui s’en dégagent est stimulant. cette artiste qui est partie habiter l’europe dès 1949 a exposé par la suite là-bas et aussi aux états-unis.
apparentée au mouvement expressionniste abstrait, elle passe d’une pratique gestuelle à une peinture plus géométrique dans les années 60. il y avait une exposition sur son travail au centre pompidou en 2022.
«À son décès en 2016, la peintre américaine Shirley Jaffe laisse une
œuvre abstraite très riche, dont un ensemble significatif, versé par
dation à l’État français, a été reçu par le Musée national d’art moderne
en 2019.»une belle découverte et surtout une belle transformation dans son travail au fil des ans.
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je suis passée à pixelfed.social
clins d’œil d’un vendredi plutôt nuageux
mon guylainelab
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l’art aborigène, avant et maintenant
un lien qui me mène vers un article du magazine vogue-living australien qui m’amène sur une liste de 20 artistes aborigènes. parfois les chemins sont étonnants.
sur cette page, on peut voir la diversité de cet art qui a toujours été contemporain, il me semble. ici, on présente plusieurs talents qui utilisent la peinture, mais aussi la photo et l’installation. elles et ils ont une façon bien particulière de s’inspirer de l’identité, de la terre et de filiations.
ces œuvres sont souvent très graphiques, des traits de même épaisseur dessinés par-dessus des taches de couleur. on a parfois l’impression que la composition est aléatoire, mais non, ce sont toujours des constructions complexes. il faut aussi souligner les harmonies des couleurs assez particulières qui sont souvent jouées sur deux niveaux, le fond et le jeu de lignes et de formes sur le dessus.
le point négatif est sans doute de ne pas avoir inclus un lien pour en savoir plus sur chacun des artistes.
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ça bouge cette semaine
j’ai eu une semaine chargée. c’était le moment de lancer le #guylainelab avec les questions que je recevais ici et là et auxquelles j’ai essayé de répondre le plus clairement possible. et le défi a commencé avec tous ces sujets, thèmes et façons de faire. quel délice de parcourir vos images! il y a tant de créativité là dedans. tout le monde a son chemin propre et c’est vraiment la beauté de l’aventure. ci-dessus, mon paysage du jour 1.
il y a plusieurs nouvelles créatives et créatifs cette année. tant mieux. je n’arrive pas à savoir combien nous sommes, car ce n’est pas tout le monde qui partage quotidiennement. je vais prendre en note le nom des comptes et je vous en reparlerai.
ensuite il y avait un autre événement en gravure. un échange de gravures ouvert à toutes et à tous. aujourd’hui était la dernière journée pour envoyer les gravures. j’ai presque tout reçu. quand j’aurai tout en main, nous nous mettrons à plusieurs pour redistribuer les gravures afin que chaque participant.e.s en reçoivent dix. une belle aventure.
puis il y a l’organisation du imazines magog qui aura lieu le 14 avril prochain. je commence à relancer les exposants, à faire des plans, etc.
après avoir fait tout ça, je vais me lancer dans la reliure de mon livre d’artiste «Is there kindness through screen?». il est sec maintenant.
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clins d’œil d’un mercredi
la fibre de Ruth Kent
les larges paysages de Debbie Mackinnon
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mon #guylainelab cette année: paysage!
j’ai beaucoup réfléchi et comme plusieurs d’entre vous, j’ai eu un peu de difficultés à me choisir un thème. mais voilà, c’est fait. j’ai décidé de travailler le paysage, qui est en lien avec un autre projet sur lequel je vais travailler dans les prochains mois.
pour me préparer un peu, j’ai déjà sorti quelques livres, des idées inscrites ou imprimées ici et là. j’ai regroupé ça dans la même pile. parce que 15 minutes, ce n’est pas long. ainsi, une partie de la recherche sera disponible facilement.
je veux essayer différentes façons de faire des paysages, des arbres, des lignes d’horizon, des champs, etc. je veux varier les manières de faire et les matériaux. m’inspirer un peu ici et là, tout mélanger, essayer, bref, jouer! une idée en amène une autre.
pour ce faire, j’avais besoin qu’un volet de ma structure soit aussi en format paysage. j’ai fait autre chose aussi cette année, j’ai collé plusieurs feuilles pour faire ma feuille de base que j’ai pliée et coupée par la suite. résultat, mes fonds seront sans doute différents et pourquoi pas.
j’ai très hâte de voir vos recherches. c’est toujours si captivant.
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le dessin, au souper et au resto
des vases plus grands que moi
du papier, toujours du papier!
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clins d’œil d’un lundi
les lettres sont de plus en plus rares. vous comprendrez mon intérêt pour cette lettre d’amour de 1913. cette missive a été écrite par un illustrateur, Alfred Joseph Frueh, à sa femme pour lui expliquer comment l’exposition serait présentée. avouez… ça dépasse le charme d’un courriel, non?
aussi, les tasses de Sarah Murray, qui ont l’air de tasse faites de papier mâché. j’adore les designs, les couleurs, les textures. faites le tour pour voir l’étendue de ses créations. en céramique, il est parfois difficile d’avoir d’aussi belles couleurs.
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le dessin, au souper et au resto
guylainelab, fin de la quatrième édition
une lampe et du mouvement
