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quoi faire de vos photos ?
dans la section DIY (do it yourself) du site fototiller dédié à la photographie, vous trouverez plusieurs projets à faire, des façons de placer vos photos, de les utiliser, etc.
ça va de l’abat-jour, à la tapisserie en passant aux encadrements, bien sûr.
sympathique avec beaucoup de liens. ça donne des idées par cette journée de pluie.et j’ai tellement de photos «pas rapport» qui ne servent finalement pas à grand chose. des textures en sous-verre ou en abat-jour, ça serait pas mal !
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ce que je ne ferai jamais, bien que ça me tente depuis longtemps
un film charmant de chez coudal. un petit documentaire sur une façon inusitée, mais combien logique de laver son clavier d’ordinateur.
cet objet usuel serait, selon plusieurs articles, plus sale que la pire des toilettes.bon. mais l’objet en question est mal pensé au départ, car en réalité, effectivement on devrait pouvoir laver son clavier aussi simplement que nettoyer un moule à muffins.
pourquoi je ne le ferai jamais ? parce que je n’ai pas de lave-vaisselle…
quand je regarde les claviers blancs qu’apple offre, il y a de quoi se poser des questions. dans un contexte scolaire, disons que les claviers sont rarement nettoyés. alors, on se lave les mains plus souvent, ce que tous ne font pas.
dans ma tête, ça reste un problème de design toujours pas résolu.
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les petites publications, vous aimez ?
tous les formats/type de contenu de magazines ont un nom. je me souviens d’avoir passé une entrevue à toronto où on me demandait si je pouvais faire des «magalogues». «des magaquoi ?» : ai-je répondu.
c’était un mélange entre magazine et catalogue. sous une forme de magazine, un catalogue de produit camouflé à travers du placement de produits à volonté.
pas eu la job, et c’est tant mieux.depuis, plusieurs chaînes de magasins ont leurs publications. est-ce que quelqu’un lit vraiment ça ? hum…
cette semaine, sur le site de l’exposition «design life now» du cooper hewitt j’ai lu un court papier d’Ellen Lupton sur les petits magazines que l’on retrouve depuis quelques années en kiosque. ces «mooks» (pour magazine et book), sont jugés de plus en plus pratiques, concis. ils consomment moins de papier, sont plus faciles à manipuler et leur aspect petit livre font que les gens les conservent plus longtemps. cette idée va bien au magazine «make». voir le site, intéressant aussi.
pourtant grande consommatrice de magazine, je n’ai jamais acheté ce format pour la bonne raison qu’il me semble que je ne vois pas très bien : les textes souvent trop petits, ça manque d’air, je ne parviens pas à sentir l’ambiance du magazine. bref, je n’y vois pas grand-chose de positif. ça pouvait aller pour le reader’s digest, pour des textes courts en colonne sans trop d’images, mais pour le reste…
et vous, vous en lisez ? -
pages couvertures, cyan obligatoire !
la maison d’édition pelican a publié il y a bien des années, un grand nombre d’essais des plus divers sur toutes sortes de sujets en format «livre de poche».
acejet170 est un maniaque de cette série qu’il a finalement mise en ligne. ces couvertures sont tout simplement superbes, elles sont très épurées et fortes graphiquement. comme quoi, les effets «photoshopés» sont facilement contournables.quelques points à retenir tout de même : faire une composition sur un fond cyan, ça ne devait pas être évident tous les jours, on y voit quelques autres couleurs, mais ça ne varie pas beaucoup. la collection s’en sort avec une forte personnalité.
portez attention sur les sujets, pas facile d’illustrer des titres comme : la psychologie de l’étude, l’éducation chez les soviets, l’enfant normal, l’hypnose, etc. de manière aussi brillante.
des petits chefs-d’oeuvre conceptuels aussi simples et forts, ça fait du bien aux yeux !
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les lieux publics sans typo, ça aurait l’air de…
voici un projet de recherche que j’ai trouvé très particulier. matt siber est un artiste/photographe américain. le «untitled project» est tout spécialement pertinent pour l’oeil des graphistes.
il a photographié des lieux publics, en amérique et en europe, pour ensuite en enlever tous les éléments typographiques. regardez bien, juxtaposé à la photo, une image où il n’a conservé que la typo. surprenant.
on sait que la typo est partout, mais ceci en est une belle démonstration. un des buts du projet est de démontrer que le message passe bien autrement qu’avec des mots.
effectivement…
ses autres projets de recherche sont tout aussi intéressants. -
de l’origami géant !!!
de l’origami format géant. il fallait y penser et surtout, le faire. à la faculté d’architecture de l’université mcgill, robert lang, scientifique, artiste et ingénieur, fera un «ptéranodon» (voir image du reptile volant) entre le 17 et le 20 avril prochain.il fera sa pièce d’origami à partir d’une feuille de cinq mètres carré faite tout spécialement pour lui par la papeterie st-armand.
tous les renseignements sont sur cette page. une conférence sera offerte en soirée le 19 avril.