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échangez vos oeuvres d’art (ATC)
j’ai découvert un autre «filon artistique» dans les derniers jours. il s’agit du ATC pour «artist trading card».il y a même une définition complète sur wikipédia . on y apprend que c’est le suisse vänçi stirnemann qui aurait commencé ça en 1997.
le principe est le même que les cartes de hockey de notre enfance. sauf que cette fois, il s’agit d’art. le format : 2,5 x 3,5 po. il peut s’agir d’oeuvre unique ou de très petits tirages. et le principe le plus important, est que les cartes doivent être échangées et non-pas vendues.celles-ci sont de stirnemann sur un site qui présente vraiment beaucoup d’artistes (voir la colonne de droite).
au dos l’artiste signe, ajoute une date et un contact.
pour avoir fait un peu de recherche sur le sujet, je dirais qu’il y en a vraiment pour tous les goûts et tendances artistiques.
aussi, la page de flickr d’un groupe spécialisé sur la question, ils sont plus de 1000 et il y a plus de 9000 cartes de présentées.
je vais peut-être essayer ça… je trouve l’idée géniale. on pourrait intégrer ça à nos journées «creacamp», non ?
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méthode pour la réalisation pour vos projets créatifs
behance est un organisme qui vous aide à faire avancer vos projets. une image vaut mille mots. quand j’ai vu cette photo (ci-dessus), je me suis dit : «wow, avec ça je devrais arriver à réaliser mes projets».
depuis plus d’un an, j’ai un paquet de projets en développement sur mon bureau. en attente du «moment» où j’aurai du temps. ouais, eh bien plusieurs mois plus tard… j’en ai ajouté d’autres, mais je n’ai pas avancé les précédents. comment s’en sortir ?
de mon coté, j’utilise ce genre de tableau depuis peu, mais ça fonctionne complètement. je divise tout en petites tâches de 15 minutes maximum. j’inscris tout ça sur des post-it et je les promène d’une colonne à l’autre.
la quantité de travail que j’ai réussi à faire de cette façon m’étonne encore.
voir mon tableau à moi ci-dessous.
sur behance, lisez les articles. plusieurs sujets intéressants. exemple : on parle de mettre en évidence les étapes réalisées. vous êtes le genre à faire des listes, à rayer et à ensuite les jeter ? non non non, il faut les garder, les mettre à vu pour réaliser le travail que l’on fait. c’est de l’encouragement pur que vous envoyez à la poubelle sinon.bref, je vous le conseille. il y a plein de livres et de trucs pour vous aider un peu partout sur le web, mais j’avoue que cette méthode très visuelle est une source de motivation. ça marche pour moi !
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quoi faire de vos photos ?
dans la section DIY (do it yourself) du site fototiller dédié à la photographie, vous trouverez plusieurs projets à faire, des façons de placer vos photos, de les utiliser, etc.
ça va de l’abat-jour, à la tapisserie en passant aux encadrements, bien sûr.
sympathique avec beaucoup de liens. ça donne des idées par cette journée de pluie.et j’ai tellement de photos «pas rapport» qui ne servent finalement pas à grand chose. des textures en sous-verre ou en abat-jour, ça serait pas mal !
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ce que je ne ferai jamais, bien que ça me tente depuis longtemps
un film charmant de chez coudal. un petit documentaire sur une façon inusitée, mais combien logique de laver son clavier d’ordinateur.
cet objet usuel serait, selon plusieurs articles, plus sale que la pire des toilettes.bon. mais l’objet en question est mal pensé au départ, car en réalité, effectivement on devrait pouvoir laver son clavier aussi simplement que nettoyer un moule à muffins.
pourquoi je ne le ferai jamais ? parce que je n’ai pas de lave-vaisselle…
quand je regarde les claviers blancs qu’apple offre, il y a de quoi se poser des questions. dans un contexte scolaire, disons que les claviers sont rarement nettoyés. alors, on se lave les mains plus souvent, ce que tous ne font pas.
dans ma tête, ça reste un problème de design toujours pas résolu.
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les petites publications, vous aimez ?
tous les formats/type de contenu de magazines ont un nom. je me souviens d’avoir passé une entrevue à toronto où on me demandait si je pouvais faire des «magalogues». «des magaquoi ?» : ai-je répondu.
c’était un mélange entre magazine et catalogue. sous une forme de magazine, un catalogue de produit camouflé à travers du placement de produits à volonté.
pas eu la job, et c’est tant mieux.depuis, plusieurs chaînes de magasins ont leurs publications. est-ce que quelqu’un lit vraiment ça ? hum…
cette semaine, sur le site de l’exposition «design life now» du cooper hewitt j’ai lu un court papier d’Ellen Lupton sur les petits magazines que l’on retrouve depuis quelques années en kiosque. ces «mooks» (pour magazine et book), sont jugés de plus en plus pratiques, concis. ils consomment moins de papier, sont plus faciles à manipuler et leur aspect petit livre font que les gens les conservent plus longtemps. cette idée va bien au magazine «make». voir le site, intéressant aussi.
pourtant grande consommatrice de magazine, je n’ai jamais acheté ce format pour la bonne raison qu’il me semble que je ne vois pas très bien : les textes souvent trop petits, ça manque d’air, je ne parviens pas à sentir l’ambiance du magazine. bref, je n’y vois pas grand-chose de positif. ça pouvait aller pour le reader’s digest, pour des textes courts en colonne sans trop d’images, mais pour le reste…
et vous, vous en lisez ? -
pages couvertures, cyan obligatoire !
la maison d’édition pelican a publié il y a bien des années, un grand nombre d’essais des plus divers sur toutes sortes de sujets en format «livre de poche».
acejet170 est un maniaque de cette série qu’il a finalement mise en ligne. ces couvertures sont tout simplement superbes, elles sont très épurées et fortes graphiquement. comme quoi, les effets «photoshopés» sont facilement contournables.quelques points à retenir tout de même : faire une composition sur un fond cyan, ça ne devait pas être évident tous les jours, on y voit quelques autres couleurs, mais ça ne varie pas beaucoup. la collection s’en sort avec une forte personnalité.
portez attention sur les sujets, pas facile d’illustrer des titres comme : la psychologie de l’étude, l’éducation chez les soviets, l’enfant normal, l’hypnose, etc. de manière aussi brillante.
des petits chefs-d’oeuvre conceptuels aussi simples et forts, ça fait du bien aux yeux !