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deux sujets pour un vendredi
aujourd’hui j’ai pris le métro pour aller à l’atelier. nous étions trois par wagon, alors pas trop de stress. il y avait plus de monde au retour vers 2h30.
j’aimerais bien y aller souvent, mais ce n’est pas conseillé. alors j’ai rapporté plusieurs projets que je peux faire à la maison. j’ai du travail devant moi pour plusieurs jours.
j’ai envoyé ce matin aux abonné.e.s de mon bulletin une édition «spécial virus». on suggère fortement d’organiser ses journées pour profiter de ce moment plutôt que de le subir. j’ai donc fait hier une série de feuilles pour planifier vos journées et vos activités. vous les trouverez ici.
un clin d’oeil maintenant sur ce qui est beau naturellement. vous trouverez dans cet article les structures que créent les abeilles quand elles sont laissées libre. c’est absolument magnifique. on apprend que les abeilles de l’australie forment des structures différentes des britanniques.
prenez soin de vous!
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livre du mercredi: l’atelier Terrains Vagues
du papier, toujours du papier!
découvrir le travail de Kate Downie
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un livre de restants bien spécial
j’adore les projets qui sont différents. quand j’ai trouvé ce livre de macules de Miguel Bustos (barcelun), j’ai eu un coup de foudre.
«Four years of test prints,2014—2018, This book contains screenprinting test-prints I did between 2014 and 2018 mostly at Barra de Ferro (escola EINA’s printing dept.) and many other nomad printing studios settled during those years: (Barcelona, Amposta and la Sénia)»
c’est un livre de tests d’impressions de sérigraphie sur quatre ans. ça donne des pages qui sont magnifiques. je suis un peu triste de ne pouvoir le consulter en vrai. j’adore ses couleurs, ses dessins et la dynamique que cela donne à l’ensemble. la richesse des pages, des détails sont inouïs.
j’avais déjà acheté ce genre «d’exercices» à Simon Bossé il y une dizaine d’années à expozine et j’ai acheté une des quatre copies de ribambelle par L’abricot. l’idée est simple, mais demande une gestion à long terme de l’artiste. la version finale exige de nous qu’on regarde dans le détail le résultat du hasard.
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clins d’œil d’un mercredi
les larges paysages de Debbie Mackinnon
suite d’une formation
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bulletin spécial avec vous
à force de lire sur l’épreuve que nous traversons, il y a des choses intéressantes qui ressortent. comme le fait de finalement aller au bout de notre dépendance plus ou moins importante aux écrans. car on a beau être branché à tout moment, la situation se développe et on fait pour le mieux. ça ne changera pas dans les prochaines heures.
sont apparus en ligne plusieurs défis créatifs, des choses à faire à la maison, bref, tout le monde y met du sien. je découvre l’ampleur de ce bel échange qui met de l’avant la collectivité dans son isolement.
j’aimerai vous envoyer un bulletin spécial vendredi. que faites-vous de vos journées? comment vous vous en sortez? des trucs/idées que vous avez trouvés? écrivez-moi et je ferai une compilation. fournissez-moi des liens et autres suggestions. on fera des découvertes, c’est certain. si vous lisez mon blogue, c’est que nous avons toutes et tous quelque chose en commun, non?
de mon côté, j’ai fait une grosse recette de sauce tomates, je prends ma pause café dehors et je lis beaucoup. étonnamment, je n’arrive pas à me décider pour un défi de dessins. pourtant… je suis comme figée, mais je vais finir par me décider dans les prochains jours.
photo Aniket Bhattacharya
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ne plus nourrir la bête
la fibre de Ruth Kent
livre: «Make Art or Die Trying»
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la photographie extérieure
comme on ne peut pas trop sortir…
je vous présente les photos de Matty Smith. il fait de la photo sous-marine en utilisant une moitié sur et l’autre moitié sous l’eau. ça donne des résultats assez surprenants sans parler de la perspective. l’eau déforme l’image. visitez sa page instagram pour en voir plus. il y a définitivement une qualité artistique à cette façon de faire sans parler des couleurs exceptionnelles de ce qu’il trouve sous l’eau.
aussi, sur colossal encore une fois, une large série de portraits de gens qui s’intègrent jusqu’au camouflage dans la nature.
«Norwegian-Finnish artist duo Karoline Hjorth and Riitta Ikunn bring a folklore-inspired vision to the relationship between humans and nature. The majority of their subjects are elders who often have a deeper connection to the lands they inhabit, work on, or cultivate.»une
magnifique reportage et travail de mise en scène. j’ai adoré. si vous voulez en voir plus ainsi que le «making of», c’est ici.
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du temps pour classer, apprécier
la fibre de Ruth Kent
c’est le printemps sur les vêtements
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imaginez-en 365+1
je vous donne des nouvelles de mon projet 365+1. je vous en avais parlé ici et ici.
j’ai commencé récemment à plier et dater les feuilles. hier à l’atelier, j’en ai accroché quelques-unes pour voir l’effet. imaginez, il y en aura environ 135 par mur. je crois que le point de vue sera vraiment intéressant.
j’ai tout imprimé manuellement. je fais mes plaques sur du carton ondulé sur lequel je colle toutes sortes de matériaux. j’ajoute de nouvelles plaques tout au long du processus. pour l’encre, j’avais commencé avec de l’encre charbonnel aqua wash, mais devant la difficulté d’en avoir et la quantité que j’avais besoin, je suis passée à l’acrylique que je travaille avec un rouleau en mousse. il a fallu que je m’adapte un peu, mais là, ça va.
pour la première moitié du projet, je n’ai jamais utilisé de noir dans mes couleurs. mais en février, j’ai changé cette règle, idée d’essayer autre chose. j’ai encore plusieurs idées pour le type d’impression, des plaques, etc. ça mijote tout au long du processus, ce que j’adore.
la beauté d’un projet comme celui-ci est que j’imprime avec mon rouleau à pâte sans vraiment réfléchir et j’ai des résultats qui me fascinent, pas toujours, mais souvent. le lâcher-prise en quelque sorte.
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du papier, toujours du papier!
jouer dehors!
clins d’œil d’un vendredi plutôt nuageux
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petit carnet d’Angela Mckay
dans cette période d’insécurité, de pandémie, je ne peux pas faire grand-chose pour baisser l’anxiété générale. je vais donc continuer à vous suggérer d’inspirantes choses à voir ou à faire et si vous avez des demandes spéciales, faites-moi signe!
ce matin je vous présente le petit carnet d’Angela Mckay illustratrice dans le domaine du textile. elle remplit lors de ses voyages son carnet moleskine de dessins à la gouache. j’ai adoré le format, la simplicité des lignes et les couleurs en aplat. c’est aussi rempli de textures différentes. j’envie le peu de matériel que cela demande. un cahier d »un papier assez épais, un pinceau et une palette de couleur.
le premier reportage vient de colossal, mais vous pouvez visiter sa page instagram ici ou son site plutôt textile ici.
inspirant.
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