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la science et l’art
par ce mercredi je vous partage deux sites où l’art et la science se mélangent.
allez voir le travail de Sarah Hearn, une artiste qui explore plusieurs aspects de la science. c’est sur la page couverture de la publication québec science que j’ai découvert son travail .
sur son site, vous y trouverez plusieurs visions artistiques de recherche scientifique. vraiment intéressant.
aussi, je suis depuis un bon moment déjà le mot-clé #slimemoldsunday (Dimanche de la moisissure visqueuse) sur instagram. des fanatiques de moisissure qui partagent de très très gros plans de leur sujet préféré. c’est absolument fascinant. il y a une telle beauté là-dedans. à voir pour les formes, les couleurs, c’est magnifique.
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les dessins de Nigel Peake
ce matin je vous propose d’entrer dans l’univers de Nigel Peake. cet architecte irlandais de 40 ans dessine beaucoup. il a publié plusieurs livres de ses dessins. je vous présente «in the wilds» publié en 2011.
j’ai choisi celui-là parce qu’il présente la campagne qu’il observe lors de ses nombreuses randonnées. à cette période, selon son texte d’introduction, il vit loin des grands centres. le fait qu’il soit architecte colore grandement les pages de son livre.vous y verrez la campagne, un sujet universel. ses dessins sont à la fois illustratifs et aussi très conceptuels, c’est la beauté de son univers. sa façon de dessiner au trait avec des ajouts de couleurs parfois beaucoup parfois presque pas est particulier. -
images du nord du nord
la photographe polonaise Magda Biernat a documenté le changement climatique au nord du nord. dans ses images, un mélange de petits icebergs et d’habitations délaissées.
le changement climatique fait fondre les gros glaciers qui deviennent de petits icebergs. parce que les hivers ne sont plus ce qu’ils étaient, la population autochtun doit bouger en suivant les animaux qui migrent vers le nord pour la chasse ou vers de plus grandes agglomérations pour changer de style de vie.
son projet «adrift» met en parrallèle les deux, les icebergs et les maisons laissées à l’abandon. c’est beau et triste en même temps. elle a d’ailleurs fait un livre de ce projet.
faites le tour de son site, j’ai bien aimé son projet sur les petites maisons de maître-nageur de miami.
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embrassez un arbre
si vous le pouvez, donner un câlin à un arbre. on nous dit que c’est bon pour la santé depuis un bon bout de temps maintenant.
voici que l’artiste internationale Marina Abramovic nous suggère de partager avec un arbre nos difficultés, nos frustrations, nos moments d’angoisse, bref, les choses négatives. ça devrait être assez facile à trouver pour 2020.
«her latest addition to the method is an exercise she has called complain to a tree, where the artist asks people to give vent to the feelings this dramatic year has generated on all of us.»
«‘trees are like human beings,’says Marina Abramovic. ‘they
have intelligence. they have feelings. they communicate with each
other. and also, they are perfectly silent listeners. you can complain
to them.’»alors qu’en nouvelle-zélande, on voudrait créer une forêt d’espoir.
«As the first country in the world to welcome in 2021, we want to start it off with a dose of positivity.»
vous pouvez aussi choisir un arbre dans votre environnement et décider d’en prendre soin, de l’observer et de sensibiliser les autres à en faire autant.
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curiosités d’un lundi
d’abord sur le site de cette galerie belge spécialisée en art Aborigène d’Australie, quelques pages sur lesquelles sont dessinés des signes aborigènes avec leurs significations. c’est peu, mais vraiment très intéressant. le site comprend aussi plusieurs informations supplémentaires.
ensuite, un autre site de photos sous-marines extraordinaires pour la richesse des textures et des habitants de cette portion de notre planète. les photos sont de Alexander Semenov, explorateur et biologiste marin. cliquez sur une image pour en découvrir plusieurs autres. magique!
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une idée récup comme je les aime
j’ai trouvé ce matin ce billet sur les propositions du designer Enzo Mari pour faire des vases à fleurs à partir de différentes bouteilles de plastiques. l’idée n’est pas nouvelle, mais les résultats sont originaux.
une image vaut mille mots, allez voir sur le site pour voir les idées de découpes selon le modèle de votre contenant.
franchement, avec quelques roches au fond pour plus de stabilité, vous avez là des looks tout à fait modernes.
allez, les fleurs sont rares, mais il reste encore assez de graminées dans le paysage pour vous faire des bouquets.
par contre, le coffret qu’en a fait alessi pour les vendre me laisse perplexe…