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demain, journée des possibilités !
découverte de la journée : voici la «journée de la possibilité», instaurée par kate (artiste) et andrew, (graphiste).
eh oui, demain, 21 juin, ce sera la journée de la possibilité. j’ai découvert ça en regardant mes contacts dans flickr ce matin.
«fake french» (de la suède) a eu une bien belle idée en vue de cette journée. elle a fait, sous forme d’affichette (avec coordonnées à déchirer dans le bas), une annonce sur le sujet.
ce qui m’a vraiment fait sourire, c’est quand elle a réalisé que quelqu’un avait vraiment pris un ticket qui donnait droit à une journée sans pensée impossible.
alors, au lieu de dire que : vous ne pouvez pas, ne devez pas, que vous n’êtes pas capable, il faut tourner le message dans l’autre sens.
commençons par une journée. -
une grande question
j’aime bien ramasser chez mon libraire des extraits gratuits. j’ai lu lundi le premier chapitre du roman «train de nuit pour lisbonne» de pascal mercier, chez 10/18. le début de l’histoire est excellent.
par contre, le fascicule commençait par cette phrase (voir l’image).
j’ai gardé la page. je pense à cette phrase depuis. ça me trotte dans la tête…
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objet graphik
objet graphik. il s’agit d’un site de sites et ça tourne autour du design et en plus, c’est en français. de quoi vous tenir occupé quelque temps.
on y trouve des projets très très variés (voir les archives) et souvent des choses que je n’ai pas vus ailleurs. de là l’intérêt.
exemples : les créations de julie krakowski qui travaille l’usure comme une broderie, mutinerie, cahier de thomas bernard où il met de l’action dans un cahier de pages lignées… ou les photos d’arbre grandeur nature de Myoung Ho Lee, rephotographié dans leur habitat naturel.
le choix des sites ou nouvelles proposés sont toujours pertinent. bonne visite.
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the girl effect
«the girl effect». touchant. convaincant et seulement typographique.
pensez microcrédit. et je vais tout à fait dans ce sens.
c’est un mouvement sur lequel on parle de plus en plus souvent.via design observer
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apparemment, je ne serais pas la seule…
eh oui, je n’aime pas l’été. je n’aime pas la chaleur, le soleil direct, l’humidité, le vent chaud vicié de la ville. et il semblerait que je ne sois pas la seule.
heureusement, jusqu’ici, je n’ai pas trop à me plaindre…je suis une enfant du début de l’hiver. je travaille tout l’été à l’air climatisé et je n’ai aucun problème avec ça. je ne vais jamais sur les terrasses et préfère de loin l’intérieur frisquet d’un café.
le réchauffement climatique nous donnera des étés plus longs, misère… je désespère.
on en parle dans le journal ce matin et ça me rassure de savoir que je ne suis pas la seule! -
les artistes de bagdad
un «marine» américain à bagdad découvre l’art iraquien pendant son séjour. sous les peintures à saveur touristique, christopher brownfield découvre, pratiquement par erreur, des oeuvres plus importantes, touchantes, celles qui parlent de l’horreur de la vie là-bas.
à son retour, il quitte la marine et décide de retourner en iraq comme volontaire. il reviendra avec des tableaux qu’il expose maintenant à new york. l’argent recueilli sert entre autres, à payer du matériel d’artiste.
l’article est tiré du new york magazine. un point de vue fascinant. l’article n’est pas très long et les commentaires éclairants puisque brownfield répond lui-même à plusieurs.
une histoire que vous ne verrez ni aux nouvelles ni vraiment dans les journaux.