air du temps,  point de vue

une grande question

j’aime bien ramasser chez mon libraire des extraits gratuits. j’ai lu lundi le premier chapitre du roman «train de nuit pour lisbonne» de pascal mercier, chez 10/18. le début de l’histoire est excellent.

par contre, le fascicule commençait par cette phrase (voir l’image).

j’ai gardé la page. je pense à cette phrase depuis. ça me trotte dans la tête…