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livre pour enfant: histoire d’une artiste
un livre pour enfant sur la vie de l’artiste Louise Bourgeois. le livre est magnifiquement illustré par isabelle arsenault qui a aussi réalisé plusieurs superbes dessins pour d’autres publications.
«Born into a family that restored tapestries for a living, Bourgeois wove the world of colorful textiles into her imagination and into the very work that would establish her as un of the most important and influential artists of the twentieth century. It was in this family trade that she came to see her beloved mother as a deft, patient spider repairing broken threads — the metaphor at the heart of the iconic large-scale spider sculptures for which Bourgeois is best known and which earned her the moniker Spiderwoman.»
dans ce livre, on semble très bien expliquer le lien entre le textile dans la vie de l’artiste et ses oeuvres. c’est sûrement un plaisir de le feuilleter.
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livre du mercredi: «Endurance créative»
entre le paysage et l’impression d’un paysage
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rouleau à pâte, impression et une tonne d’autres tutoriels
j’adore les sites avec des démonstrations rapides. je viens tout juste d’en découvrir un autre. le site skillshare offre plusieurs ateliers/cours en ligne. il y a des cours payants, mais il y a aussi des offres gratuites de temps à autre.
découvrez la section DIY offrant de courtes vidéos sur toutes sortes de choses et gratuitement.
j’ai adoré celui du rouleau à pâte devenu presse manuelle, j’ai aimé le cercle de broderie devenu écran de sérigraphie grâce à un bas de nylon. plusieurs belles idées au rendez-vous.
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elle peint à 100 ans et expose toujours
voici un bel exemple qui inspire.
l’artiste Carmen Herrera aura 101 ans en mai. elle peint toujours, elle est dans les grandes galeries aux états-unis, à londres, etc.
«I don’t have the heart to paint, I have the brain to paint.»
«She didn’t gain wide attention until she was in her 80s,»… ouais.
il faut lire ce bel article du new york times où elle explique son processus.
«She pointed to a desk by a long block of windows fronting the street, where she starts around 9:30 every morning. “That’s where I think of the composition — if I’m lucky,” she said.
Stage 1 is her sketch, which Ms. Herrera does in pencil on graph paper by the window, flanked by her potted orchids.
For Stage 2, she transfers the idea to a small piece of vellum, and, using acrylic paint markers, does the sketch in color. Sometimes what follows is a larger version on paper, to see if the composition is working.»
plusieurs de ses tableaux, voir ici.
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toucher les arbres
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elles créent des gens
le monde de la céramique est très intéressant. il y a de magnifiques choses et ça va dans tous les sens.
cette fois-ci, un partage de billet de mon amie suzanne m’a mise sur la piste de l’artiste belge Patricia Broothaers. ses personnages sont magnifiques. il est difficile d’en imaginer le format exact. ils ont tous un regard qui nous laisse perplexes. ils ont de la texture, des teintes usées. sur son site, on voit plusieurs images, mais sa page tumblr en présente un peu plus.
la deuxième céramiste est l’artiste Sophie Favre. je vous envoie sur un album de ses oeuvres photographié par Martin Le Roy trouvé sur flickr. elle crée des personnages dans un genre différent, avec peu de couleur. l’artiste joue sur les positions, transforme des animaux en humains (ou l’inverse?). ils sont fascinants à regarder.
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deux carnets du mardi
d’abord celui de Natalia Grebionkina, du belarus. elle nous présente une longue série de portraits faits aux crayons de couleur en bois la plupart du temps. c’est très rafraichissant. il y a plusieurs styles de coup de crayon dans ses dessins, parfois très libre ou très structuré. à voir.
alors que dans le cas de Ahmet Ozcan, de la turquie, vous trouverez des dessins à la ligne noire d’un style parfois surréaliste. j’ai particulièrement aimé ses mélanges pinceaux et crayons noir. il crée des personnages fantastiques et étranges mais pas méchant. sa série «grotesque in life» est aussi très réussie.
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une lampe et du mouvement
prix photos et de biens beaux petits livres
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ze maizon, toute en papier mâché ou presque…
j’ai visité mardi dernier, ze maizon, une exposition qui est au musée des beaux-arts de montréal encore pour quelques semaines.
trois enseignants d’une école de st-henri ont travaillé fort avec les enfants pour créer la mise en place des pièces principales d’une maison avec beaucoup d’humour. c’est un palais de papier, de débrouillardise, de créativité et d’imagination.
«Cette exposition réunit des créations des élèves de l’école secondaire Saint-Henri, à Montréal. En s’inspirant de la collection d’arts décoratifs et de design du Musée, ils ont réalisé collectivement des pièces d’une maison déjantée où se mêlent humour et poésie du quotidien.»
voici quelques photos. ci-dessus, la terrasse avec plusieurs plantes carnivores.
ci-dessous, le grenier.
ci-dessus, toujours dans le grenier, un pigeonnier et ci-dessous, la cave (sous-sol).
ci-dessus, un énorme mille-pattes et ci-dessous, le salon avec des restants de dessert mangés par des fourmis géantes absentes de la photo.
ci-dessus, dans la chambre, un tableau de papillons et ci-dessous, toujours dans la chambre, une bien belle lampe!
chapeau à l’équipe d’enseignants. ça donne le goût de se remettre au papier mâché!
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du papier, toujours du papier!
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