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mes livres à Flotille
j’ai répondu cet été à un appel de dossier pour des publications à petit tirage, tout juste ce que je fais.
il s’agit de l’événement Flotille, la rencontre biennale 2017 des centres d’artistes autogérés qui a lieu à Charlottetown (Î-P-É) cette année du 21 au 24 septembre.
c’est la librairie Or de vancouver qui organisait cette partie de l’événement.
«Or Bookstore (Vancouver, BC) presents a mobile kiosk at Flotilla called Nautalis, selling printed matter from across Canada and abroad.»
je leur ai donc envoyé quelques-unes de mes publications. à suivre…
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quelques pages de carnets et du papier
Emma FitzGerald dessine les endroits où elle est. son livre «Sketch by sketch, Along Nova Scotia’s South Shore» sortira bientôt, une belle suite à son autre livre «Hand Drawn Halifax». si vous allez ici, vous verrez plusieurs dessins, il suffit de cliquer sur l’image pour voir la suivante.
on peut aussi voir plusieurs pages de son prochain livre ici.
un peu sur le même sujet, voici un article de Sophie Ouimet paru récemment dans le journal La presse, sur le retour du papier dans nos vies: cartes, carnets, cahiers, agendas, etc. remarquez que pour certaines personnes, dont je suis, il n’est jamais parti.
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la magie de la Gaspésie sportive
j’avais entendu parlé du raid international Gaspésie parce que le partenaire de ma nièce, Mathieu Couture (aucun lien de parenté directe) était caméraman sur le projet. ils sont plusieurs passionnés à suivre d’autres passionnés que sont les participants/athlètes.
je viens tout juste de visionner la magnifique vidéo de l’édition qui vient de se terminer (du 7 au 10 septembre). wow. il faut voir ça. pour le paysage, pour les efforts impossibles, pour les sourires, pour mesurer l’organisation d’un tel événement. ça prend des maniaques de plein air bien sûr, mais maniaques de beaux paysages aussi, parce que la Gaspésie ça fait de bien belles images! ci-dessus, le moment le plus zen du raid je crois.
dans nos vies trop urbaines et trop virtuelles parfois, ça fait plaisir de voir que des gens poursuivent l’endurance du corps et de l’esprit à travers la nature, et ce avec un visage souriant et taché de boue.
magnifique. félicitations à tout le monde, participants, équipes techniques et organisateurs.
un clin d’oeil ci-dessous, Mathieu en train de filmer lors de l’événement alors que sa fille, Malory, l’observe très sérieusement. photo de la maman, Daphnée.
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la nature en papier
Ann Wood et Dean Lucker travaillent sous le nom de Woodlucker. Leur passion, faire des objets en papier inspirés de la botanique, du monde animal, ainsi que plusieurs personnages.
leurs créations sont des papillons, des feuilles, des plumes, etc. tout est bien beau et les couleurs sont justes. j’adore. Ann semble faire surtout les objets papier alors que Dean construit des personnages et des éléments mécaniques mobiles. impressionnant. allez faire un tour, c’est vraiment réussi et personnel.
via le site patternbank.
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dans la publicité…
voici deux sujets qui viennent du monde publicitaire.
on annonce un produit sans l’annoncer. on met de l’avant une belle histoire d’humains et peu d’images de la commandite. images léchées, propos intéressant, est-ce de la pub ou pas? je suis perplexe. ça poursuit cette idée mise de l’avant par dove il y a quelques années. plusieurs compagnies ont pris le même chemin maintenant. ça donne des pubs qui nous touchent en faisant ressortir ce qu’il y a de bon chez l’humain. c’est toujours ça de pris remarquez.
dans la publicité que je souligne aujourd’hui, je me suis demandée si la belle volvo toute neuve était vraiment dans le scénario et si au bout du compte, volvo avait vraiment mis de l’argent pour sauver le basilic. remarquez qu’ils ont financé plusieurs de ces films.
dans cet autre projet, deux publicitaires ont décidé de fonder le pays «Trash Isles» sur les déchets de plastique. ils ont fait la monnaie, le passeport, les timbres, etc. il faut voir la vidéo. vraiment une belle idée.
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des filles qui dessinent
deux sujets ce matin qui se côtoient.
d’abord dessiner le ciel par 88 artistes à travers le monde. intéressant comme exercice organisé par le collectif Women Who Draw! j’adore cette idée. à voir absolument.
«On August 13, 2017, at precisely 12:00 pm Eastern Standard Time, 88 artists all over the world stopped what they were doing, looked up, and drew the sky. What each artist saw was unique to the time, the weather, and the place. The locations ranged from Tel Aviv to Brooklyn, Buenos Aires to rural Georgia.»
via Austin Kleon
l’autre sujet que j’ai trouvé particulier, c’est ce camp de graffiti pour les filles. l’idée principale étant que les filles ne dessinent pas le même genre de graffiti que les garçons, les couleurs ne sont pas les mêmes et les propos non plus. mais ce n’est pas si loin non plus. à voir. ça aussi, une belle idée.