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retour de ny
je reviens de quelques jours à new york.
moi qui avais l’habitude d’y aller souvent, j’ai arrêté autour de 2002, pour aller voir ailleurs, j’imagine. alors plusieurs années plus tard, une belle surprise, ny a changé, mais pas tant que ça. cette même énergie, les gens que l’on croise en quantité phénoménale sur la rue, les petits endroits sympathiques qu’on découvre et de bien belles surprises, comme souvent en voyage.
bref, quelques jours fort inspirants avec ma grande soeur ginette. je vous en parlerai plus longuement dans les prochains billets, le temps de faire le ménage de tout ce que j’ai ramassé ici et là.
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une artiste inspirante
la fibre de Ruth Kent
Adam et Terri travaillent le papier
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le collage au musée
à visiter plusieurs musées un peu partout, je me suis aperçue dans les dernières années que le collage commençait à apparaitre dans les galeries permanentes, section oeuvres sur papier. un grand plaisir pour moi qui en fait depuis si longtemps. une belle façon d’encourager ce mouvement est de courir voir l’exposition «collages geste et fragments» au musée d’art contemporain. huit artistes du collage y présentent leurs créations.
parmi ceux-ci, l’artiste de winnipeg paul butler qui y offre un atelier de création/collage sur place. expert en party de collage, il en a organisé un peu partout en les offrant pour tous. un article du journal le devoir nous parle de ses ateliers et du collage en général. j’ai bien aimé sa façon de présenter cette forme artistique:
«C’est difficile de transformer un collage en quelque chose d’autre qu’une superposition d’images. Souvent, les gens pensent que le collage n’est pas une vraie forme d’art, alors ils compensent en surchargeant leur feuille, soutient Butler, dont les oeuvres penchent plutôt vers le minimalisme, comme les visiteurs pourront le voir dans la salle d’exposition. C’est un peu comme en photographie. Tu peux réduire cette forme d’art en disant que ce n’est qu’appuyer sur un bouton. Mais c’est plus que ça. C’est aussi capter un moment.»
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suite d’une formation
remplir un ou des carnets
livre du mercredi: l’atelier Terrains Vagues
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l’illustration d’ici
l’association Illustation Québec a 30 ans cette année. cette association est très active et offre aux illustrateurs du québec toutes sortes d’informations. à lire sur le site baronmag, l’entrevue avec Nicolas Trost directeur de l’association. on y parle de droit d’auteur, de plagiat, de l’affaire robinson, de diffusion et de la réalité du travail d’un illustrateur aujourd’hui. c’est très intéressant.
si vous voulez avoir une idée des talents d’ici, courrez à «l’Exposition de tous les péchés» présentée jusqu’au 16 février prochain à la maison de la culture Mont-Royal. 49 illustrateurs y présentent leur vision des péchés capitaux. 7 péchés x 7 illustrateurs = 49 créations. avec un éventail aussi large, tous les styles y seront représentés.
à visionner, le court film de présentation de l’exposition, avec Marianne Chevalier et Vincent Gagnon qui nous parlent de l’exposition et de beaucoup plus. ils partagent avec nous leur cheminement, leur façon de travailler, expliquent leur illustration pour cette exposition, bref, c’est très éclairant si le travail d’illustrateur vous intéresse.
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prix photos et de biens beaux petits livres
la fibre de Ruth Kent
un vendredi de carnets
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l’atelier sera ouvert!
mon coloc d’atelier, christian giraldeau, et moi-même ouvrirons les portes de notre petit atelier samedi prochain, le 30 novembre, de midi à 5h.
venez faire un tour. café, thé, biscuits et conversations sur la créativité au sens large. nous ouvrirons nos carnets et sortirons nos productions diverses pour l’occasion.
peut-être trouverez-vous quelques cadeaux pour ceux et celles que vous voulez gâter!
nous sommes au 5795, rue de gaspé, atelier 211.
(presque sous le viaduc van horne, accès par la rue de bellechasse ou le métro rosemont)vous aimerez peut être...
clins d’œil d’un vendredi
tranche de vie… numérique
livre du mercredi: l’atelier Terrains Vagues
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l’expo de rené derouin à la banq, un incontournable
je suis allée voir dernièrement l’exposition «fleuve» de rené derouin à la grande bibliothèque. une exposition majeure bien que l’espace n’est pas si grand. un grand artiste très très créatif, donc inspirant, qui nous présente sa démarche des 50 dernières années.
tout est beau, touchant, que ce soit des gravures, des dessins, ses collages grand format, ou ses tableaux un peu 3D, ses installations. on parcourt l’exposition sous le charme de la force graphique de ce que nous voyons.
j’ai beaucoup aimé le montage de l’exposition, les petites capsules vidéo où derouin nous explique quelques passages important dans son cheminement. j’ai particulièrement apprécié les trois ipad judicieusement placés. sur deux d’entre eux, nous avons le grand plaisir d’explorer les esquisses, photos et dessins préparatoires de ses projets. le virtuel ici est une valeur ajoutée pour le visiteur. dommage qu’on ne puisse pas regarder ça à nouveau hors les murs…
je vais y retourner, c’est certain, comme cette personne que j’ai croisée en sortant et qui revenait voir l’expo. il m’a dit: «n’est-ce pas une expo d’une grande maturité?» et j’étais tout à fait d’accord. à voir absolument.
* pourquoi les gens ont besoin de converser sur leur cellulaire en visitant une exposition? ils semblent penser que nous ne les entendons pas, que cela ne nous dérange pas. misère…
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clins d’œil d’un vendredi plutôt nuageux
des vases plus grands que moi
un peu de design
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je reviens de rome…
voilà, je viens de terminer mon voyage annuel dans une ville d’europe. cette fois-ci, rome. une ville remplie de contrastes historiques complètement hallucinants.
voici quelques photos.
ici un bout de ruine romaine dans une cour arrière.
tout le monde veut visiter les musées du vatican. tout le monde se dirige vers la chapelle sixtine. il y a tellement de monde, c’est le métro dans les pires heures de pointe et ça dure des corridors et des corridors à ne rien voir, à ne pas pouvoir s’arrêter pour regarder, car la vague de monde est trop imposante.
une fois dans la chapelle sixtine, on nous demande un peu de recueillement et surtout de ne pas prendre de photos. parce que l’humain aime bien désobéir, voilà le gardien qui fait effacer les photos du visiteur un peu délinquant. ajoutez l’autre gardien qui nous demande le silence à tous les trois minutes. ça fait malheureusement un peu cirque finalement et c’est dommage pour un lieu aussi beau.
ici, une photo prise à travers une grille d’une section en rénovation
évidemment, rome est une ville religieuse. j’ai visité plus de 30 églises, toutes différentes et certaines beaucoup plus belles que st-pierre de rome. j’ai croisé partout de jeunes prêtres, de jeunes religieuses et les boutiques qui vont avec ce choix de vie.
j’ai aussi découvert qu’il n’y avait pas que les pompiers qui font des calendriers…
si vous cherchez un appartement très bien et pas trop cher à rome, je vous suggère celui que loue andrea mosciatti à 5 minutes du metro et à 15 minutes à pied du vatican. pour avoir souvent loué des appartements lors de mes voyages en europe, andrea offre un service d’une rare qualité et il parle français.
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clins d’œil d’un vendredi
apprendre le dessin à la ligne
zine de zines, il faut s’abonner