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fil et papier dans le livre
dernièrement a eu lieu, à la 23 sandy gallery (usa), l’exposition «uncommon threads» qui cherchait à présenter toutes les possibilités qu’offre le textile comme matériel dans le livre d’artiste. 47 artistes ont participé à cette expo.l’intérêt de tout regarder est la richesse de l’exploration faite par ces derniers. la façon de travailler le textile est surprenante. il y a des livres plus intéressants et riches que d’autres. mais la variété de la forme que prend le livre est bien démontré. tout le catalogue est en ligne.
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livre: «Make Art or Die Trying»
700 carnets à ville-émard
billet d’été, jouer à l’escargot
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deux artistes pour un lundi
à découvrir, les magnifiques dessins de jacinthe chevalier, illustratrice talentueuse du québec. elle mélange judicieusement les styles et techniques selon la demande ou l’exploration. c’est très très réussi, on sourit. j’aime bien voir défiler ses billets/dessins sur son blog (colonne de droite de son site).
erin vincent est un artiste de toronto. j’ai particulièrement aimé ses sculptures, sorte de mélange très dépouillé entre assemblage et collage. comme un instantané. inspirant.
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je suis passée à pixelfed.social
habiller un corps humain
une artiste inspirante
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dessiner montréal
il y a d’abord eu la découverte de la page «drink and draw montreal». il s’agit d’un blog sur l’univers du sketch, manière urban sketcher, à montréal. on y trouve quelques actualités sur le sujet et aussi quelques portraits/entrevues.
il y a un certain plaisir à voir notre ville dessinée avec style. voir et lire l’entrevue et les dessins de marc taro holmes.
«A few years back I decided it was time to really learn to draw. Instead of going back to school, I went to life drawing. A lot. Like, two or three times a week. For a few years. That’s about a thousand drawings a year. I was just doing a ton of 5, 10 and 20 minute figure drawings.
That isn’t really plein air, but it’s the same issues. Working on your toes, drawing under an urgent time limit. Drawing from perception, rather than imagination. Learning to harness traditional materials to do all sorts of things you can’t do digitally. Once you start drawing from life, the complexity of drawing really opens up. Drawing from imagination is by definition refining a formula. You’re doing the ‘style’ you do, and just getting better and better at it.»
il a aussi participé au symposium urban sketcher à lisbonne l’été dernier dont j’ai parlé dans quelques billets. intéressant à lire.
à surveiller, la sortie du livre «the art of urban sketching».
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défi: créer tous les jours pour un mois
s’engager dans la création, se donner un défi, c’est ce que nous avons parfois besoin de faire pour avancer et se secouer un peu.
si vous avez besoin de motivation, leah piken kolidas a commencé le projet «creativeeveryday.com» il y a 9 ans.il s’agit de vous inscrire gratuitement sur le site. l’idée ici, c’est la motivation d’être plusieurs à relever le défi et d’avoir le regard et les encouragements des autres qui sont partout sur la planète.
pour novembre, plus de 300 personnes sont inscrites, mais il n’est pas trop tard, les règles sont très flexibles.
on peut suivre les participants de ce défi sur une page flickr ou sur le blog individuel de chacun des participants.
il y en a pour tous les genres de création: artistique, mais aussi décoration, tricot, cuisine, etc.vous aimerez peut être...
ça traine dans l’eau
livre du mercredi: l’atelier Terrains Vagues
recevoir des compliments ?
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la vague des jeux typographiques
je ne sais pas ce qu’il y a dans l’air en ce moment, mais les jeux typographiques ont la cote. j’en ai déjà présenté quelques-uns à travers les billets de ce blog, mais là, quatre seulement dans les dernières semaines…alors, le «kerning», c’est travailler l’espace entre les lettres. le commun des mortels ne voit pas ce détail. un blanc trop grand entre deux lettres qui n’a pas été corrigé me fait lever les yeux au ciel de découragement. voyez si vous avez l’oeil ici.
les tangentes (que l’on travaille surtout dans le logiciel illustrator), c’est la beauté des courbes qui forment une lettre. et c’est l’amateurisme quand c’est mal fait… pas évident, vous verrez. encore là, il faut avoir l’oeil.
autre jeu un peu étrange. Ferdosi, est-ce le nom d’une fonte ou d’un fromage? il y a un volet pour pratiquer et un volet pour jouer quand vous serez bon. vraiment amusant. on en déduit que les fromages font d’excellents noms de fontes…
et finalement, le «tuer le comic sans», la fonte que tous les designers adorent détester. il faut en détruire le plus possible. on pourrait dire un jeu libérateur? bien que ça ne change pas grand chose dans les faits…
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ça se termine bien… enfin
livre: «Make Art or Die Trying»
clins d’œil d’un vendredi
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typographie d’un dimanche
avant les fontes «infographiques», un autre monde de fonte existait. l’écriture script (vraiment faite main) était souvent utilisée pour le logo d’un commerce. c’était personnalisé et on pouvait présumer qu’il y avait quelqu’un derrière ce nom (ce qui était souvent le cas). mais cette façon de faire a disparu en grande partie. heureusement pour nous, christian annyas a créé une sorte de répertoire des logos typographiés à la main aux états-unis «Handlettered logos from defunct department stores». il faut savoir que cette vague a existé partout dans le monde. c’est très intéressant à regarder. remarquez l’humanité qui se dégage de l’ensemble… parce que «fait à la main» inclut les petits défauts… humains.
via drawnj’ai utilisé la patate pendant très longtemps pour imprimer toutes sortes de choses. c’est un «outil» que j’aime beaucoup. j’ai eu un réel sourire en regardant les photos de «Taterpress», deux jeunes étudiants qui ont décidé de faire un alphabet patates et de s’en servir pour un projet scolaire.
toutes les photos ici.
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clins d’œil d’un vendredi
L’Arbre aux cœurs de Colette
