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dans l’eau… ou sur la plage
à voir, les photos de Josie Iselin, américaine. son sujet, la mer et les plages. l’artiste a publié plusieurs livres et son site regorge de magnifiques photographies d’algues, de roches, etc.
«Josie Iselinis the photographer, author and designer of seven books, with new projects in development in her San Francisco studio, Loving Blind Productions. Her books focus on those forms in nature we find at hand and in particular, at the beach.»
pour rester dans le sujet, qui ne ramasse pas des bouts de verre dépoli bien cachés parmi les petites roches ou le sable? pas grand monde. moi j’en rapporte toujours, peu importe l’endroit. quel n’a pas été mon émerveillement à voir ces plages russes composées en grande partie de ces petits morceaux de verre et de porcelaine.
«In the past, it was used as a dump for truckloads of unwanted glass bottles and waste from a local porcelain factory, or so the story goes.»
c’est très photogénique en tous les cas. l’endroit doit être magique avec la lumière.
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ah… le hygge
vous êtes peut-être complètement tendance sans le savoir. je croise partout des références au hygge, cet art danois du bonheur.
«Le hygge, c’est la poursuite du bonheur au quotidien, à petite échelle, explique Meik Wiking. On parle ici de moments qui riment avec confort, expérience positive, atmosphère, relaxation, bonheur ensemble.»
êtes-que vous êtes du genre à vous dire soudain: «ah ça, c’est un petit bonheur!». moi très souvent. parce que mon café est bon. parce que je croise un rayon de soleil ou parce qu’il neige à gros flocons et que je marche dans la rue. parce que j’observe mes amis en belle conversation et que tout semble parfait. je dis souvent merci à l’univers, alors je suis super hygge j’imagine.
selon cet article de Silvia Galipeau: «Mais ce que la recherche démontre, c’est que ce qui influence (et de loin) le plus notre bonheur, ce sont nos émotions positives au quotidien. »
alors bienvenu les chocolats chauds, les pyjamas en flanelle et les raclettes (ça c’est suisse, mais on va dire que ça fait pareil). avant on était dans le feng shui, ensuite «la pleine conscience» et maintenant le hygge.
je trouve fascinant que l’on doive à tout prix entrer ça dans une vague et qu’on en fasse des livres, des thèmes de magazines, et bientôt des bas de laine «hygge» (je rigole… à peine). les petits bonheurs sont partout, suffit de les voir, de les mentionner. svp, pas besoin de créer une mode qui fait consommer.
feuilleter en ligne ce magazine hygge
(photo ci dessus: Seemi Samuel)
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le monstre le plus épeurant?
Ça serait l’humain selon cette campagne de pub pour la World Wildlife conçu par la firme Sid Le. à travers les principaux fléaux qui nous entourent, la campagne nous présente différents masques portés par des enfants. effrayant, mais tellement vrai.
il na faut pas avoir peur des monstres venus de l’au-delà comme dans les films catastrophe, mais plutôt de l’humain et de son insatiable faim qui nous mène vers la destruction de la planète. c’est aussi simple que ça.
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s’organiser par le «Bullet Journal»
apparemment le «Bullet Journal» gagne en popularité. il s’agit d’un système qui combine le journal, le calendrier, la liste de choses à faire et l’agenda, tout ça dans le même carnet, et souvent une semaine sur deux pages.
l’important est de le faire manuellement, d’en décorer les pages, d’y mettre votre créativité et votre personnalité. justement, ce type de journal vous permet de le personnaliser par les choses qui vos tiennent à coeur.
«Past research has suggested, for example, that you may retain information better if you write it by hand rather than type it out; un study published earlier this year took the idea a step further, finding that drawing the things you need to remember may be even more effective than writing them down.»
des exemples ici, mais il y en aurait des tonnes sur pinterest ou instagram #planneraddict #bulletjournal
finalement, une éclairante présentation en français qui décrit et présente le concept très clairement.
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demain, le film qui tourne du bon côté
comment se faire raconter que la fin du monde n’est pas pour demain? le film «demain» nous démontre très bien que l’on peut changer les choses.
par ce film magnifique et tout simple, vous rencontrerez des gens qui ont essayé des choses pour renverser la vapeur et tourner les possibilités de cette planète du bon côté. plusieurs personnes qui ne se sont pas laissé influencer par le négatif ambiant et ont plutôt décider d’être créatives pour les bonnes raisons.
on sort de ce film en ayant confiance dans la nature humaine, c’est énorme!
la planète et ses richesses sont contrôlées par nos gouvernements en lien direct avec toutes les grosses corporations mondiales qui ne veulent rien savoir de ce qui se passe réellement et surtout de ce qui se passera dans les prochaines années.
oui, il y a mouvement citoyen et il sera important. faites en sorte d’en faire partie, et voir ce film est un incontournable à mon avis. allez-y et partagez. ça commence le mouvement.
** je prends un pause. je serai de retour sur ce blogue autour du 10 août prochain.
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il faut y aller: la bibliothèque, la nuit
difficile de cerner l’exposition/installation «La bibliothèque, la nuit» car dans les faits, vous êtes assis pendant environ 50 minutes.
si vous aimez les voyages et les livres, vous aimerez cette expérience immersive. après une très jolie introduction dans une bibliothèque pleine d’ambiance, la voix de Alberto Mangel vous accompagnera tout au long de votre chemin conçu par Robert Lepage.
avec votre lunette de réalité virtuelle en main, vous irez choisir votre place dans cette belle installation d’une forêt de livres la nuit qui a étrangement l’air d’une ancienne bibliothèque. vous installez vos lunettes et hop, vous voilà parti à visiter 10 bibliothèques de par le monde. magique!
réservez votre place en ligne rapidement (lien plus haut), l’expérience se termine le 28 août prochain.