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lire le scrapbook de Frankie Pratt
connaissez-vous le livre «Le journal de Frankie Pratt» de Caroline Preston? c’est un petit livre graphique d’un style scrapbook qui raconte l’histoire d’une jeune fille des années 20. elle y présente sa vie à travers des pages remplies de collages créés à partir d’images de cette époque et les textes sont écrits avec une vieille dactylo.
vu le style de la mise en page, je préfère en lire plusieurs pages à tous les jours. j’ai toujours le sourire à suivre les histoires de cette Frankie.
parue en 2015, je l’ai emprunté à la bibliothèque. il ferait un excellent livre-cadeau. essayez de le feuilleter lors de votre prochaine visite en librairie, vous serez charmé. c’est une façon d’étirer nos lectures d’été.
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deux choses à voir en ce mardi
d’abord cette robe immergée dans la mer morte pendant plus de deux mois.
«For her project titled Salt Bride, Israeli artist Sigalit Landau decided to submerge a black gown in the Dead Sea. The gown spent 2 months in the salt-rich waters in 2014, and as you can see from these stunning pictures, the end result is nothing short of magical.»
il faut voir les photos. le processus est magnifique. Sigalit Landau a d’ailleurs travaillé avec cette technique pour d’autres projets.ensuite, de Carl Kleiner, voir cette très jolie série qui présente des mises en place de tulipes. sa série «postures» est toute en beauté et raffinement.
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un vernissage au-delà de mes espérances!
je n’ai pas de photos, mais j’en aurai bientôt. je peux vous dire qu’il y a eu beaucoup de monde à cette ouverture. beaucoup de gens que je n’avais pas vus depuis longtemps et des nouveaux. plusieurs se sont fait plaisir en achetant gravures et cahiers.
malgré la grande chaleur, des artistes contents de leur participation et moi encore plus qu’ils le soient. merci pour tous vos beaux messages. je vous répondrai personnellement cette semaine.
bref, je crois pouvoir dire que le vernissage de L’officielle rentrée imprimée des élèves de Ste-Arpim de Belgo fut un véritable succès. merci à l’équipe du centre de l’art imprimé Arprim de m’avoir permis de monter ce projet.
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ça commence ce soir…
… et je suis excitée comme une puce. nous avons monté l’exposition hier (merci, merci ginette) et je dois dire que c’est exactement ce que j’avais en tête.
mes participants sont arrivés avec des projets papier tous plus charmants les uns que les autres. hier, ouvrir les boites et les paquets, découvrir les créations finales, c’était comme à noël et ça le sera pour vous aussi.
voici quelques photos prises (avec un cellulaire) en fin d’après-midi, il manque quelques items qui n’étaient pas encore arrivés.
petite note: le magasin du centre de l’art imprimé Arprim n’accepte que l’argent comptant.
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L’officielle rentrée imprimée des élèves de Ste-Arpim de Belgo
voici l’affiche de l’exposition que je prépare à la section le magasin du centre d’essai en art imprimé Arprim.
vous êtes invités pour le vernissage qui aura lieu le vendredi 9 septembre prochain à 17h30 au 372, rue Sainte-Catherine Ouest, # 426, à Montréal. environ 15 artistes ont participé à cette exposition sur le thème de la rentrée.
voici le texte de Marie-Pier Bocquet qui a bien joliment expliqué mon idée.
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L’officielle rentrée imprimée des élèves de Ste-Arprim de Belgo
une expo-vente sous le commissariat de Guylaine Couture
Du 9 septembre au 15 octobre 2016
Vernissage le vendredi 9 septembre dès 17h30La rentrée des classes est un moment rempli de promesses et de bonnes intentions ! Le Magasin vous convie à une expo-vente à thématique saisonnière, vous proposant une version améliorée des sempiternelles fournitures scolaires, conçues par des artistes, relieurs et imprimeurs/artisans sélectionnés par la commissaire Guylaine Couture.
Les élèves de l’école Ste-Aprim de Belgo, tel que les désigne malicieusement la commissaire, vous offrent leur plus bel effort sous la forme de cahiers, carnets et autres calepins. Qu’ils vous servent à prendre des notes, dessiner, écrire la poésie dont vous rêvez ou mesurer vos connaissances, votre imagination pourra se déployer dans ces petites éditions spéciales. Mais faites vite, tout comme l’application studieuse des nouveaux élèves, tout disparaîtra après le 15 octobre !
Sur place, petits et grands sont invités à griffonner et peut-être même pratiquer leur écriture manuscrite, comme du temps de la petite école.
Avec des œuvres de: Julien Boisseau (L’abricot), Olivier Boissonnault, Andréanne Bouchard, Marie-Ève Bouchard, Cassandre Boucher, Catherine Ouellet-Cummings (L’abricot), Jacinthe Chevalier, Ginette Couture, Cécile Côté, Mathieu Lebuis, Julie Parent, Sabina Rak, Clément Roger, Jennyfère Sabourin, Myriam Tousignant et Guylaine Couture, commissaire de l’exposition.
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la mode masculine et des perruques
nous avons souvent l’impression que la mode masculine est restée très sobre pendant de longues années. mais en fait, elle a toujours eu ses tendances et ses saisons.
«Reigning Men: Fashion in Menswear, 1715–2015» était une exposition qui s’est terminée récemment au Los Angeles County Museum of Art. j’ai découvert cet événement par un billet sur les perruques qu’il a fallu réaliser pour cette expo.
300 ans de mode pour homme exigeaient de faire des têtes différentes. mais comment les faire? Deborah Ambrosino a trouvé une solution magnifique. 116 perruques différentes ont été créées, une a demandé plus de 74 heures de travail. elles sont faites du tissu utilisé par les tailleurs depuis toujours.
«I thought, what is masculine? While a lot of what is considered masculine seems to have morphed over the last 300 years, the art and rules of tailoring have remained essentially the same. So I looked at the fabrics used in tailoring. I realized that the hair canvas used to shape the torsos of men’s suit jackets had the widest variety of malleability, texture, and color.»
l’entrevue est fort intéressante. une belle recherche créative!
vous trouverez même des patrons de vêtements anciens en format pdf sur le site.