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défi: faire un livre sur le thème du mois
voilà, j’ai participé à mon premier défi sur instagram (en excluant guylainelab).
sur le #areyoubookenough_shadow, on suggère un thème par mois sur lequel créer un livre. je l’ai fait aussi parce que cela me semblait une occasion de me remettre à la forme du zine. de plus, j’avais le désir d’essayer les pliages présentés dans le livre «the art of the fold» d’Hedi Kyle.
le thème du mois de juin était «shadow». j’ai travaillé sur ce sujet comme quelque chose que l’on cache. pour «Why are you in the shadow…», j’ai choisi une douzaine de portraits où j’ai dissimulé les visages pour y inscrire la raison pour laquelle ces êtres seraient dans l’ombre.
la structure que j’ai choisie est «the crown book». il s’agit d’un pliage/reliure qui permet de tenir 7 feuillets sans aucune colle ou fil. j’ai fait la structure avec des pages de livres collées bout à bout ce qui rend les plis plus difficiles. j’ai refait le pliage de nombreuses fois et c’est encore loin d’être parfait.
j’ai beaucoup aimé. vous pouvez voir toutes les photos ici. il me reste à le finaliser et à sans doute le mettre en vente sur mon site bientôt.
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le dessin, au souper et au resto
L’Arbre aux cœurs de Colette
suite d’une formation
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Marianne North, artiste botaniste
Marianne North est une artiste britannique qui a choisi la botanique comme le sujet principal de ses œuvres.
«Marianne North was a 19th century traveller and plant painter who painted the plants she found on her travels and founded a Gallery to house them at Kew Gardens»
visiter kew garden, près de londres est toujours sur ma liste de choses à voir. encore plus depuis que j’ai découvert cette artiste via un documentaire récemment.
«Between 1871 and 1885 Marianne North painted over 800 paintings while visiting 17 countries on 6 continents in 14 years »
sur le site du jardin botanique, vous trouverez une page très bien remplie d’information, de liens sur cette artiste. vous y trouverez des photos du pavillon qui lui est dédié. impressionnant! quand on voit les pièces où toutes ses œuvres sont disposées, c’est en effet très étourdissant et foisonnant. ça doit donner une impression de forêt tropicale sans doute.
vous pouvez voir tous ses tableaux ici
je salue ici le courage et la détermination de l’artiste qui voyageait beaucoup afin de pouvoir dessiner tous ces végétaux sur place, rarissime pour l’époque. j’ai adoré les couleurs, les compositions et le choix de chacune des œuvres: portrait de plantes, point de vue d’un jardin, etc.
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ne plus nourrir la bête
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L’Arbre aux cœurs de Colette
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livres de mathématiques
pourquoi je vous parle de livres de mathématiques aujourd’hui? parce que c’est la fin des classes!
j’ai trouvé sur ce site quelques livres des années 60 avec des illustrations magnifiquement vintage, comme je les aime.
j’adore le tracé simple des dessins, les aplats et le choix des couleurs et même la typographie. on devait à l’époque faire les dessins et les mises en page en fonction du nombre de couleurs. vous remarquerez que toutes ont du noir avec une ou deux couleurs, c’est selon. les pages couvertures sont magnifiques aussi.bon, ça fait presque 300 pages de calcul, de problèmes, d’exemples, etc. je n’ai aucune idée de quoi les livres de mathématiques ont l’air aujourd’hui. j’ai fait un petit repérage, je vous propose le numéro 5 et le numéro 6.
tous les livres ici. un billet clin d’œil aujourd’hui.
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les six premiers mois de guylainelab
je suis à repenser mon guylainelab.
j’aime la forme, j’aime le type d’exercice, c’est exactement ce que je voulais faire. mais est-ce viable? je ne sais pas trop. au départ, vraiment plusieurs personnes se sont inscrites et j’en’étais très étonnée. quand les expérimentations ont commencé, peu de gens se sont désabonnés, ce qui m’a surprise. on était intéressé et j’en était bien contente.
pour ma part, après m’être occupée de tout mettre en place, de faire le suivi, etc, j’ai enfin eu du temps pour participer moi aussi. j’ai fait les deux derniers labs. j’ai soumis le 5 à une exposition «virtuelle» parce que la pièce est trop fragile à déplacer. je vous en reparle si elle est acceptée. pour mon lab6, sur la transparence, j’ai essayé de faire des collages. j’avais sans doute une idée trop précise du résultat et au final, ce n’est pas si intéressant. pas de stress, on apprend plus de nos échecs. alors je vais sans doute me réessayer avec autre chose.
dans ce dernier lab justement, j’ai adoré (comme toujours) les expérimentations de mes fidèles créatives.
Cathryn avec son amour de la nature, et en même temps son travail plus structuré. Julie qui nous a démontré qu’un pot de mayo et de la pellicule plastique lancés dans la nature pouvaient être très poétique et Brigitte qui expérimente de tous les côtés et nous présente de magnifiques résultats intrigants… il y a d’autres créatives aussi, je pense à ma sœur Ginette, à mon amie Colette et plusieurs autres. dernièrement, Jocelyne me disait avoir fait tous les labs, mais préférait ne pas partager en ligne. à chacun sa façon de faire, c’est l’idée même de ce projet.
voici ma vision à long terme de guylainelab (avec plus de participations), je souhaiterais poursuivre sous forme de livre ou d’exposition. mais bon, on reprend tout ça le 15 septembre.
il n’est jamais trop tard. tout est disponible en ligne. alors si vous désirez faire un lab ou deux cet été, envoyez-moi vos résultats, je les ajouterai sur le site.
pour jeter un coup d’œil sur les dernières expérimentations cliquez ici #guylainelab.
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découvrir le travail de Zoé
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trois reportages photo pour un mardi
quelques projets photo que j’ai trouvé intéressants dans les dernières semaines.
le monde de l’agriculture a changé et les élévateurs à grain en bois ne sont plus fonctionnels depuis longtemps. souvent nommés les cathédrales des prairies, ces bâtiments disparaissent du paysage tranquillement. le photographe Scott Prokop documente le sujet. ses photos sont un peu trop «photoshopées» à mon goût, mais sa démarche reste quelque chose d’important. il y a de petits bijoux là-dedans.
de son côté, le photographe Peter Mauney fait de la prise de vu avec de très très longues expositions afin de capturer le mouvement des lucioles. absolument fascinant.
et finalement, Zhang Kechun s’est intéressé à la déconstruction du fleuve jaune et en a saisi plusieurs magnifiques photos.
«Chinese photographer Zhang Kechun documents both the beauty and destruction of China’s second-longest river. His photo series and print publication ‘The Yellow River’ captures vast landscapes alongside the river, that are disappearing due to environmental degradation and industrial ruination.»
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les larges paysages de Debbie Mackinnon
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deux artistes pour un vendredi
il faut découvrir les installations de Isabel et Alfredo Aquilizan. ils aiment travailler des structures en carton avec la collectivité, partager leurs expériences en rapport avec la migration. ils sont des philippines, mais disent ne plus vraiment se sentir à la maison quand ils y sont.
le couple est souvent demandé pour créer des installations avec les gens sur place. il faut voir la vidéo ici pour avoir une idée de comment ça se passe.
«Alfredo and Isabel Aquilizan are a husband-and-wife team who emigrated from the Philippines to Australia in 2006. Their artworks often address themes of displacement, change, memory and community.»
voir d’autres belles images de leur travail ici. leurs créations m’inspirent beaucoup.
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du papier, toujours du papier!
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mon guylainelab
