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un livre de Natalya Balnova
mon livre du mercredi sera un vendredi.
je suis le travail de Natalya Balnova (new york) depuis un bon moment déjà. j’adore sa façon de dessiner et de publier de magnifiques livres d’artiste à petit tirage.
vient le moment où j’ai décidé de m’en acheter un, et j’ai choisi «garden of eternal gravitation» un livre de 2018. je l’ai reçu cette semaine. il est plus beau que prévu. j’ai bien apprécié son format plus grand qui laisse beaucoup de place pour admirer le travail. Natalya possède une grande maitrise du dessin, de la mise en page et de la technique d’impression.
ses livres sans texte sont imprimés en sérigraphie de deux ou trois couleurs. vous pouvez tous les voir ici sur sa page behance. allez jeter un œil sur son tout dernier «Rivers of Marigold», une véritable beauté.
ce ne sera sans doute pas mon dernier achat dans sa boutique…
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mon guylainelab
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wow les créatives et créatifs!!!!
wow, que vous me faites plaisir. j’espère que vous en avez autant que moi à parcourir ce que vous avez créer dès la première journée et maintenant la deuxième (#guylainelab).
pour ma part, j’étais dans un resto à montréal et j’ai dessiné une des clientes à la table voisine. quatre étudiantes de l’université trop contentes de se voir et de jaser en vrai à la même table. j’ai fait un léger tracé de la main droite et un dessin de la main gauche avec un peu de fusain. j’ai bien aimé.
bon, maintenant, je vous explique: quand j’ai lancé ce défi, je croyais qu’on serait seulement une dizaine. mais la planète a débarqué!! oui, vous êtes tellement nombreuses que j’ai vraiment perdu le fil du nombre de participantes et participants.
j’aimerais bien vous faire des commentaires, mais je vais y passer ma journée! mon but étant de faire un peu de création tous les jours et de ne pas passer du temps dans les réseaux sociaux.
j’espère que vous serez compréhensives et que vous ne prendrez pas mal que vous n’ayez pas de nouvelles de moi souvent sur vos pages. je les regarde par contre, je les apprécie et je les «aime». votre présence et votre participation me touchent beaucoup.
la variété des chemins/thèmes que vous avez toutes et tous pris est magnifique, personnelle et créative. elle se développe de jour en jour, on le voit dès la deuxième journée.
quel beau mois nous allons passer!
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un peu de design
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Doris Lee et Constance Spry
je vous présente aujourd’hui deux artistes. l’une est peintre, l’autre a travaillé avec les fleurs.
Doris Lee était une peintre/graveur américaine (1905 – 1983). Vous trouverez dans son corpus de la
peinture figurative, des gens dans leur vie de tous les jours, un
portrait d’une certaine amérique. un beau travail de couleur, de
composition riche et parfois complexe quand vous verrez la quantité de gens dans certains de ses tableaux.ce qui me désole est de réaliser à quel point il est difficile parfois de trouver de l’information sur une peintre femme. dans le cas de Doris Lee, à part sa page wikipedia qui ne présente aucun tableau, il est difficile d’en trouver plus que trois ou quatre à la même source. c’est pourquoi je vous envoie vers une page de recherche, pour avoir une meilleure idée d’ensemble.
il y a aussi un magnifique reportage sur elle dans le new york times.
ensuite la dame qui changea la façon de faire des bouquets. Constance Spry (1886 – 1960) a mis de l’avant des compositions florales incluant des verdures inusitées. cela a l’air naturel aujourd’hui, mais en 1929, cela n’était pas dans l’air du temps.
«Spry ransacked attics for unusual objects to use as containers and drew
inspiration from the Dutch 17th- and 18th-century flower painters, while
she popularized unusual plant materials to offset flowers, like pussy willow, weeds and grasses and ornamental kale.»dans son cas aussi, trouver des images a été un peu compliqué. voir sur cette page pour avoir une meilleure idée ou cette autre page.
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clins d’œil d’un vendredi plutôt nuageux
ne plus nourrir la bête
l’œil de Berthe Weill
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une bonne nouvelle et du froid
allez, j’y vais avec une bonne nouvelle aujourd’hui. je vous propose le top dix (sur plus de 200) des plantes découvertes en 2021. oui oui, on découvre encore de nouveaux spécimens et j’en suis bien contente. remarquez, il y en a plusieurs que l’on perd aussi, par notre manque de respect des écosystèmes…
«In 2021, Kew scientists and our partners worldwide named approximately
205 plants and fungi from Africa, Asia, the Americas and even here in
the UK.»de là l’importance de les identifier, leur donner un nom afin de mieux les suivre dans leur environnement et de les protéger.
question de rester dans la nature, il faut voir les photos de glace de Ryota Kajita prises en alaska.
le résultat est magnifique. cette collection nous fait aimer le froid et la beauté souvent monochromatique de l’hiver. vous en apprendrez plus sur cette série ici.
il faut savoir que les bulles que nous voyons sont en fait du méthane ou de la dioxine de carbun, effet de l’urgence climatique. la nature me surprend toujours par sa beauté.
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les dessins de Yung Hsuan Wang
une lampe et du mouvement
les larges paysages de Debbie Mackinnon
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livre: une bd sur les artistes femmes
je vous présente aujourd’hui le livre de Valentina Grande et Eva Rossetti, «the women who changed art forever».
voici un ouvrage sur l’histoire du féminisme en art contemporain présentée sous forme de bande dessinée. après une introduction de quelques pages, on nous présente quatre artistes: Judy Chicago, Faith Ringgold, Ana Mendieta et les Guerrilla Girls. ici, seulement des américaines et une belle façon de découvrir leur travail, leurs implications et actions pour la reconnaissance des œuvres des femmes dans le milieu de l’art.
j’ai beaucoup aimé surtout parce que chaque histoire/profil met bien en contexte l’époque, le mouvement, ce qu’il se disait à l’époque dans ce milieu artistique.
1985: «your good Judy, but you have to decide whether you want to be an artist or a woman». je fais de l’exéma quand je lis ça…
bref, j’ai beaucoup aimé ce livre. j’ajouterais qu’il y a un réel plaisir à renouer avec la bande dessinée.
on présente plusieurs pages sur le lien du livre au début de mon billet.
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L’Arbre aux cœurs de Colette
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la modernité de Sophie Taeuber-Arp
il y a en ce moment une exposition des œuvres de Sophie Taeuber-Arp (1889–1943) au musée d’art moderne de new york. cette artiste française née en suisse nous offre beaucoup de modernité et est, bien sûr, quasi inconnue. Elle a œuvré dans toutes sortes de disciplines et milieux culturels.
«She worked as a designer of textiles, beadwork, costumes, furniture, and interiors,
as well as an applied arts teacher, puppet maker, architect, painter,
sculptor, illustrator, and magazine editor. Through her artistic output
and professional alliances, she consistently challenged the historical
boundaries separating fine art from craft and design.»elle a travaillé aussi en édition. malheureusement, nous n’avons pas accès à l’intérieur des publications. j’aurai bien aimé voir la mise en page…
portez une attention spéciale aux années de création, la dame était vraiment très moderne!
aussi sur le new york times.
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du temps pour classer, apprécier
