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la fatigue en création?
eh bien oui, ça existe vraiment et on n’en parle jamais.
merci à mon amie Suzanne de nous avoir partagé cette chronique page blanche de Misjka Lavigne sur ce sujet justement.tout ce qu’écrit l’autrice est bien vrai, peu importe le domaine de création.
à lire absolument.
photo d’Abbie Bernet
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clins d’œil d’un vendredi
clins d’œil d’un vendredi
le dessin, au souper et au resto
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365+1, quelques plaques d’impression
je suis à préparer une petite exposition pour septembre. je vous en reparlerai en temps et lieu. le projet est d’imprimer manuellement 366 feuilles.
pour ce faire, je fais des plaques d’impression en carton, vu le nombre à produire. j’essaie toutes sortes de matériaux et de techniques. il y a des matières qui donnent des résultats surprenants et d’autres qui ne fonctionnent pas du tout. c’est ça l’expérimentation. les bacs de recyclage sont mes amis. c’est un véritable air de jeu pour moi.
je partage souvent quelques gros plans sur ma page instagram.
les plaques où les formes sont de cartons ne fonctionnent pas très bien, car la texture du carton ondulé reste malgré tout. j’ai effectué plusieurs essais, sans résultat satisfaisant.
le styromousse fonctionne très bien, et toutes les sortes de mousses en fait. elles donnent des résultats toujours différents.
l’air aussi. les formes remplies d’air sont surprenantes.
je ne pourrai pas tout conserver, bien sûr, parce que j’en ajoute de nouvelles un peu tout le temps. avant de commencer à les jeter, j’ai voulu les photographier.
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clins d’œil d’un lundi
zine de zines, il faut s’abonner
billet d’été, jouer à l’escargot
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«The book as a place for collage» est réimprimé
vous vous souvenez, j’avais participé à une journée sur le collage et le livre en novembre dernier dans la cadre de volume 2.
le magazine kolaj, organisateur de l’événement, avait publié l’ouvrage «The book as a place for collage» d’une cinquantaine de pages sur le sujet incluant des articles de Ric Kasini Kadour et des articles sur tous les invités ainsi que sur les formes de livre/collage qu’ils pratiquent.
le livre, tiré à 50 exemplaires, était épuisé à la fin de la journée.
Christopher Byrne vient de m’écrire pour me dire qu’ils en ont fait une réimpression avec quelques extras. si cela vous intéresse, il s’agit d’un bien intéressant document sur la question. en vente à 20$ sur le site.
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les illustrations d’Armando Fonseca
découvert les dessins et cahiers d’Armando Fonseca (mexique).
il travaille avec de l’encre sur du papier sans doute imbibé d’eau. il crée des effets surprenants, joue avec une palette presque monochrome et ses dessins habitent bien l’espace. une ambiance particulière s’en dégage.
sur behance, il présente quelques carnets et dessins. c’est sur facebook par contre qu’on peut voir plus de choses de sa récente production. un talent que j’ai bien aimé.
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billet d’été, jouer à l’escargot
entre le paysage et l’impression d’un paysage
une lampe et du mouvement
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doodle de l’avent
le doodle est: «un mot anglais qui désigne les dessins ou les écrits griffonnés». de mon point de vue, c’est surtout de dessiner sans penser, juste pour s’occuper, comme dessiner quand on parle au téléphun.
je ne vais pas très souvent sur youtube, mais si l’expérimentation du doodle vous tente, allez faire un tour sur la chaîne de CeeCee, une artiste québécoise de Vaudreuil-Dorion.
elle propose un cahier de doodle comme calendrier de l’avent. voyez ça comme votre petite expérimentation créative de la journée. un peu d’aquarelle, quelques crayons-feutre et vous pouvez commencer.
elle a fait son cahier et préalablement placer des masses ou taches de couleur très librement. à tous les jours, elle vous fera dessiner. je ne suis pas vraiment dans ce type de dessin, mais l’exercice peut être intéressant.
si vous avez peur de la page blanche, voici un excellent départ pour vous. si vous n’arrivez jamais à commencer quelque chose, voici une petite rythmique sans conséquence, mais qui fera tourner la roue de votre créativité.
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des vases plus grands que moi
clins d’œil d’un mercredi
remplir un ou des carnets
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les femmes du bauhaus
on a fêté les 100 ans de l’école du bauhaus l’an dernier (1919 à 1933). donc on en a beaucoup parlé.
puisque c’est dans l’air du temps de parler des femmes en art (pour de bon, j’espère!), on a aussi parlé des femmes du bauhaus. cette école de design qui se voulait ouverte et moderne ne l’a pas été tant que ça dans les faits. pour en apprendre plus, je vous suggère la lecture de cet article qui n’est pas très long.
«As it turned out, these New Women faced old prejudices. Gropius was worried that the female majority would weaken the school’s reputation.»
»This sexism set the tun. During the Bauhaus’s 14-year existence, women were prevented from choosing their artistic disciplines as men could. Nor were they given decision-making jobs, and very few were offered permanent teaching positions.»
il faut retenir que l’influence des femmes est énorme dans l’héritage du bauhaus. dans l’article, on explique bien que même si elles étaient surtout confinées au cours de tissage par Gropius, directeur de l’école, elles ont été très innovatrices.
«The weaving workshop was not only a centre of artistic innovation but of industrial innovation too.»
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du temps pour classer, apprécier
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la fibre de Ruth Kent
