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un beau projet graphique et créatif
le projet date un peu, mais n’a pas vieilli. et l’idée ainsi que le processus sont tellement intéressant que je crois que ça vaut la peine d’aller jeter un coup d’oeil.
une université de la caroline du nord publie annuellement un recueil d’oeuvres littéraires des étudiants, enseignants et personnel de l’université. deux graphistes, Carolin Harris and Caroline Okun, ont fait la mise en page de l’intérieur du document windhover 2006 de manière très originale et elles ont demandé l’aide des autres pour faire les 2000 pages couvertures. effectivement, toutes les pages cartonnées sont uniques car faites à la main.
en quelques photos vous verrez l’étendu du projet. comme quoi, rien n’est impossible, il s’agit de s’y mettre!
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design-police et ses autocollants alerte rouge !
j’ai trouvé ce site, design-police, très très drôle et je crois que tous les graphistes devraient se servir de ces petits autocollants pour dénoncer le travail mal fait.
à l’aide de ces petites alertes, les gens comprendraient mieux une des nombreuses tâches d’un graphiste, c’est à dire: s’arranger pour que ce que l’on voit soit correctement fait!
erreurs fréquentes? les photos pixelisées à cause d’une mauvaise résolution, les textes mal alignés, utilisation d’une fonte absolument illisible pour un long texte, etc.marie-pier m’a devancé, elle en avait parlé sur le groupe de procédés infos sur facebook !
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curiosité typographique
la patate est mon légume préféré. j’en mange très très souvent et j’ai souvent utilisé la pomme de terre comme outil d’impression pour faire des papiers d’emballage, des cartes, etc.mais là, j’ai trouvé «pire» que moi, en tous les cas, beaucoup plus patient que moi. Itamar lerner, jeune graphiste israélien, a gravé l’alphabet complet. une lettre par morceau. c’est plus fou que moi ça !
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• Good design is hunst
je dis souvent qu’en créativité on n’invente rien, on utilise plutôt ses propres règles, sa vraie personnalité, pour «créer» quelque chose de différent, peu importe le domaine.à lire ici une belle histoire de design.
trouver plusieurs points communs entre deux designers industriels géniaux à 40 ans d’intervalle, c’est surprenant ! jonathan ive, le maître «design» d’apple est génial et dieter rams aussi. ce dernier a conçu toute une série d’objets pour braun dans les années 60.
les dix règles de base de rams sont:
• Good design is innovative.
• Good design makes a product useful.
• Good design is aesthetic.
• Good design helps us to understand a product.
• Good design is unobtrusive.
• Good design is hunst.
• Good design is durable.
• Good design is consequent to the last detail.
• Good design is concerned with the environment.
• Good design is as little design as possible.on peut facilement voir que les deux designers travaillent selon des principes assez proches. ils sont la preuve que lorsqu’on n’a pas peur d’être vraiment différent, mais tout à fait sincère, ça donne des résultats!
il y a des choses comme ça qui sont dans l’air. l’idée de simplifier au maximum est une règle qu’on très bien compris ces deux designers, heureusement pour nous.dans la liste ci-haut, à propos des points sur le design durable tout en respectant la nature… apple a encore des croûtes à manger, comme tous les produits électroniques d’ailleurs. ces règles devraient nous inspirer pour tout ce que nous produisons.
en tous les cas, à voir, tous les prototypes et les objets présentés, vraiment intéressant.
merci jen ! -
tendances observées sur les logos en 2007
le site logolounge (volet Web d’une série de livres) présente les tendances observées à travers la quantité faramineuse de logos qui meublent massivement notre environnement visuel.
la diffusion que permet le Web aide à voir ce qui se répète plus ou moins d’un endroit à l’autre sur la planète.une tendance de plus en plus présente, plutôt sociétale celle-là, est que le grand public donne rapidement son avis sur un nouveau logo ou un rebranding de compagnie. on n’a qu’à penser au logo proposé pour les jeux olympiques de londres 2012 ou du rebranding d’adobe pour son cs3.
autre réalité, les logos sont désormais pensés pour être utilisés en couleurs lumière (RGB) et en mouvement, de là les effets 3D si populaires, mais si difficiles à utiliser lorsque le travail doit être imprimé…
le volet faible reste malgré tout, le peu d’intérêt mis sur la typographie. ça, ça ne change pas vraiment. dommage.
via swissmiss.
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comment prendre une décision
trop d’idées? on n’arrive pas à décider quelle piste travailler? on hésite, laquelle est la meilleure? le temps file et il faudrait trancher?
lu un article sur le sujet, via le voice, le magazine en ligne sur le design de l’aiga.l’auteur, ralph caplan, propose diverses façons. les méthodes proposée sont quelques fois comiques mais toujours près de la nature humaine.
il explique la méthode de tout mettre au mur (allo les pos-it !). mais ensuite… comment choisir?
l’humain que nous sommes décide de jouer à pile ou face, et puis sur le résultat… décide de faire 2 dans 3, etc.bref, on change les règles de notre petit jeu… l’idée ici étant que si on change les règles à mesure, c’est parce que dans le fond, on sait lequel choisir, non?