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sourire d’un mercredi: paris-new york
paris-new york, deux villes trépidantes, mais tellement différentes. un studio de design s’est amusé à nous identifier les différences, bien clairement, à partir d’un large éventail de symboles.
un exercice très efficace que nous présente l’agence française ViiiZ aka Vahram Muratyan. le concept continue de se développer ici.
merci jen pour ce lien!
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sourire d’un jeudi
j’adore! une photo de l’installation de mehmet ali uysal au Festival 5 Saisons, expo extérieure en belgique.
via trends now. -
cadeau de vendredi dernier
la poste m’apporte parfois de véritables petits joyaux. vendredi dernier, c’est linda vachon (j’ai déjà parlé de son travail à quelques reprises) qui m’a envoyé un magnifique petit livre d’artiste avec un exemplaire de sa participation à un collectif américain (le carton à gauche). le livre est charmant, magnifique, rempli d’atmosphère, de textures et de riches couleurs. bref, un bien beau cadeau.je présente aussi le verso de sa carte, une présentation fort originale.
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l’écriture d’un architecte
hier matin en lisant le bulletin kollectif, je suis tombée sur «comment écrire comme un architecte».je me souviens d’avoir entendu mon père (architecte), dire que les jeunes architectes ou dessinateurs ne savaient pas écrire correctement sur un plan.
je dois avouer que j’ai toujours eu un coup de coeur pour l’écriture de mon père (ci-dessus). une graphie facilement reconnaissable et élégante. j’ai gardé plusieurs bouts de papiers où il avait noté des choses. mais il y avait aussi son écriture d’architecte, qu’on retrouvait sur ses plans et que j’aimais tout autant.
j’ai bien aimé le commentaire de martin houle sur ce sujet et bien sûr le petit film. l’écriture dans le film n’est pas aussi réussie que celle de mon père, mais ça m’a fait sourire en cette journée un peu grise.
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une bien belle rencontre à lisbonne
une première pour moi. j’ai eu le plaisir de rencontrer à lisbonne une artiste avec qui j’échange papiers et courriels depuis quelques années. dilar pereira habite cette ville. je lui ai donc écrit en septembre pour savoir si elle avait le temps de prendre un café avec moi. eh bien oui, et nous avons finalement passé la soirée ensemble avec son ami nuno à nous promener un peu partout.dilar maintient le rythme d’un collage par jour depuis quatre ans. quelles création et productivité!
je lui ai offert de faire de nouveau un échange 6×6. elle m’a remis du matériel pour en faire tellement plus!
elle est amateure de papier comme plusieurs d’entre nous. ils m’ont amené dans un endroit très particulier. je n’ai ni le nom ni l’endroit (c’était près de Largo Camões), mais c’était une caverne d’ali-baba de documents papier en tous genres. j’ai acheté des factures (etc.), mais il y avait des télégrammes, des ex-libris, des étiquettes de cigare, etc. j’y aurais passé des heures! le tout était bien classé, ce qui rendait la recherche très agréable.dilar m’a aussi donné un de ses collages, le sujet est luis de camoes, un grand poète portugais.
bref une bien belle rencontre!
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signature et crise existentielle
il y a des sujets parfois qui nous interpelle étrangement. comme cet article de T magazine où une journaliste nous démontre que la signature est devenue un symbole sans réelle importance.lors de ses achats, alex kuczynski a signé des noms farfelus de diverses façons sans se faire questionner.
«Think about it: Do you know what your best friend’s handwriting looks like? Do you know what her signature looks like? We live in a world of technical elitism, in which a metal-and-polymer brick in our pocket can communicate with people all over the world, yet our very identities remain unquestiund when we buy a box of Kleenex or a six-pack of soda.»
apparemment, votre signature est maintenant un mot de passe, un code connu de vous seul. pendant ce temps, la valeur des autographes grimpe en flèche! intéressant.