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un gadget «dessin»
je ne parle pas souvent de bidule électronique, mais ça, ça me semblait assez intéressant.
il s’agit d’un crayon, le «inkling-digital-pen» de la compagnie wacom qui enregistre vos traits de crayon pendant que vous dessinez sur papier, dans votre carnet ou autre et qui en fait un fichier électronique vectoriel. avouez… c’est intriguant.
le crayon respecte même la densité avec laquelle vous faites votre ligne, une ligne très foncée ou très pâle, le tout pour environ 200$… une fois le dessin fait, il s’agit de faire un transfert via usb et vous pouvez poursuivre à l’ordi. possibilité de créer des calques pendant la période dessin.
toute l’info et films de démo ici.
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les artistes du papier
j’aime le papier, toutes les sortes de papiers et je ne suis certainement pas la seule.
j’ai découvert le site de «International Association of Hand Papermakers and Paper Artists» (nommé iapma). vous en avez pour un bout de temps à découvrir le magnifique travail de ces 184 artistes. vous y reviendrez sans doute, il y a des portfolios intéressants et/ou on vous réfère au site de l’artiste.
on découvre le papier sous des formes surprenantes, un monde de textures, de couleurs. les oeuvres sont très variées. pour quelqu’un comme moi qui travaille le papier en tout temps, c’est très très inspirant!
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explorer, créer, répéter
voici un autre site avec des articles sur la créativité.4ormat est d’abord d’un site qui vous permet de mettre en ligne facilement un portfolio d’allure professionnel pour les bidules technos de tous et chacun.
pour étoffer leur site, ils ont ajouté du contenu sur la créativité sous le nom «ecr» pour explore-create-repeat.toujours intéressant à lire bien qu’il n’y a rien de vraiment nouveau sous le soleil. le petit + est que l’on fournit aussi plusieurs liens si le sujet de la chronique vous a intéressé.
c’est un peu comme le 99% de behance.
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voyager pour ça… ça me tente!
patrícia pedrosa a participé au «urban sketching» à lisbonne cet été. j’ai parlé de cet événement il y a quelques semaines.
elle a monté un court film de 17 minutes sur la première journée. ça donne un bien bonne idée de l’ambiance générale. on voit les sites choisis dans la ville, quelques-uns dessinent ensemble tandis que d’autres sont plus solitaires et les participants reçoivent les commentaires des «pros» qui étaient sur place. cette journée bien remplie se termine par un regroupement où on regarde les carnets de tout le monde.
maintenant j’attends seulement de savoir où ça sera l’été prochain…
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une surprise
parmi mes suggestions de livres d’amazon récemment, j’avais ce livre destiné au «doodle pour garçon» de Dawn DeVries Sokol .
sur le coup, cette publication m’a surprise, j’avoue. doit-on faire des livres de ce genre seulement pour garçon? je sais pas, et je ne sais pas en quoi ce livre est si différent des autres. en fait, l’auteur parle de faire un livre d’un style plus urbain.
mais finalement, il est vrai que tout ce qui touche les livres altérés, l’impression manuelle, le scrapbooking et les reliures de base, (que les libraires placent tous dans la même section) donc tous ces livres sont en grande partie écrits par des femmes, présentant des oeuvres faites par des femmes. est-ce que cela gêne les garçons de les consulter et de s’en inspirer?
j’aimerais bien avoir votre avis sur la question…
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l’eau comme point commun
question de rester dans l’ambiance de tornade et/ou de tempête tropicale… voici deux artistes qui ont travaillé avec l’eau comme composante de leur démarche.d’abord le travail de nicole dextras, artiste de vancouver. j’ai eu un coup de coeur pour plusieurs de ses projets. j’ai adoré les robes gelées dans des blocs de glace de presque 2 mètres. j’ai aussi aimé ses mots placés dans le paysage de diverses façons. faites le tour, beaucoup à voir.
aussi, les magnifiques photos d’isabelle hayeur de montréal. à l’aide d’une caméra submersible, elle a photographié à divers endroits, des paysages où on voit à moitié sous l’eau avec un point de vue sur terre.
«Je le plonge dans des milieux troubles, des eaux douteuses aux origines incertaines. Nous avons tous en tête ces séduisantes images des mers tropicales: les mondes aquatiques sont fascinants et envoûtants. Ce que je cherche à montrer est bien différent, puisque mon travail se joue de l’émerveillement habituellement associé à la prise de vue aquatique.»
fascinant.