je suis tombée sur cet article du NY magazine qui présente un palmarès des 100 meilleurs crayons. j’ai pensé que ça vous intéresserait sans doute.

avons-nous trop de crayons? je ne crois pas, encore que… comme c’est une petit objet, j’en achète souvent en voyage. plus que je peux en utiliser en fait.

bien sûr chaque crayon a son utilisation. nous avons des préférences pour le dessin, pour les esquisses, pour faire des listes.

en tous les cas, 100 crayons, c’est beaucoup de modèles. à parcourir la liste, vous en reconnaitrez certains et vous ferez peut-être quelques découvertes.

bonne lecture, prenez des notes!

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quand on cherche DIY calendrier de l’avent sur le web, on a des tonnes de résultats.

depuis quelques années, je fais mon calendrier inversé, c’est-à-dire que je dois inscrire quelque part ce qui m’a fait plaisir à chaque journée jusqu’au 25. ça m’oblige donc à penser à avoir un beau petit moment dans ma journée. parfois, c’est un café plutôt tranquille, cela n’a pas besoin d’être extraordinaire, juste un moment où vous avez le temps de sourire.

j’ai trouvé sur le site de Deserres cette série de petites maisons à faire. le plan des maisons est complètement blanc et vous avez quatre modèles. imprimez-les sur du papier coloré ou dessinez ou imprimez sur les pages manuellement. on pourrait même décider d’en faire une par jour, acte créatif de la journée. bref, c’est ouvert. à la fin, vous aurez un joli petit village.

ce n’est pas une idée nouvelle, mais c’en est une qui peut devenir un exercice créatif très intéressant. à vous de jouer!
on en apprend un peu plus sur cette tradition ici.

vous avez sûrement vu les dessins de cet artiste. lors de la dernière vente de livres de McGill, j’ai mis la main sur un de ses livres, «the passport». j’en parcours les pages avec bonheur. les dessins de Saul Steinberg sont brillants. en quelques traits, on comprend tout. ça touche l’humain, c’est un peu humoristique, mais pas seulement.

«Figure célèbre et singulière de la culture graphique américaine, Steinberg a exercé une influence déterminante sur les créations de la seconde moitié du XX^e siècle. Émigré aux États-Unis pour fuir l’antisémitisme européen lors de la Seconde Guerre mondiale, l’artiste a tendu aux Américains un miroir insolite d’eux-mêmes pendant près de soixante ans. Sa popularité est liée à celle du New Yorker, le magazine le plus emblématique du monde culturel outre-Atlantique auquel il a donné plus de 600 dessins et 85 couvertures.»

j’adore. je parle aujourd’hui de ce livre-ci, mais il en a publié plusieurs. regardez à votre bibliothèque publique, vous en trouverez sans doute. un petit délice. visitez aussi le site de sa fondation.