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sur un cap du cap breton
je n’ai jamais eu la touche «décoration». ce qui m’entoure doit être beau (selon moi) et servir dans mon quotidien, objets, meubles et beaucoup de papier…mais là, coup de coeur pour cette maison du cap breton (région absolument imbattable) vue sur le site du new york times. on voudrait y être, c’est pas plus compliqué que ça.
l’histoire de ce projet ici.
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… juillet 2011
photo (disponible en haute résolution) tirée du bien intéressant site shorpy.
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deux trouvailles pour un mercredi
la dactylo qui imprime avec des lettres en plomb, il fallait y penser et organiser le tout pour que ça fonctionne. c’est ce qu’a fait le jeune designer paul bailey. le résultat est intéressant mais il s’agit sûrement d’une meilleure idée en théorie qu’en pratique…une curiosité qui vous fera sourire, que vous aimiez ou non le tennis. on utilise un livre, deux tourneurs de pages et une bande son pour vous faire revivre un match de tennis. très réussi. de bryan ku, étudiant en design.
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les arbres comme sujet
c’est un magnifique sujet. prenez-vous le temps de les regarder vraiment? moi si, assez souvent. ça me fait du bien. j’aime plus que tout le bruit du vent dans leurs feuillages.voici deux artistes américains pour qui les arbres sont un sujet de création.
d’abord dan shepherd qui explore, dans le projet «Draw Me a Tree», la relation que nous avons avec la nature en demandant à des gens de lui dessiner un arbre. shepherd se présente comme un faiseur d’images. le mélange photo et dessin est personnel et ça rend ce projet rafraîchissant.
aussi, le travail de lauren henkin. son travail est sur la nature au sens plus large, donc les arbres sont un sujet incontournable. quelques séries sur les objets délaissés dans la nature qui reprend le dessus. une grande qualité d’images.
deux artistes découverts via alder ego
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la créativité de 100 artistes dans un même cerveau
j’ai vraiment rigolé à écouter cette toute récente conférence ted.
shea hembrey est un artiste américain qui a décidé de s’organiser une biennale. au départ, il s’est demandé comment avoir le travail de 100 artistes internationaux. finalement, le plus simple selon lui, était de créer ces 100 artistes et leur travail.
son premier défi a été d’élaborer une démarche d’artiste pour chacun, qu’il pourrait expliquer à sa grand mère en 5 minutes. ensuite il a fait une oeuvre de chacun de ces artistes (imaginaire) pour sa biennale.
le gros de la conférence est une suite de démarches avec photo de l’oeuvre à l’appui. ça déboule à grande vitesse, on rigole, on s’étonne, on n’en revient juste pas. le bouillonnement de créativité que ça représente est hallucinant. il a tout fait lui-même sur une période de deux ans. impressionnant, c’est le moins qu’on puisse dire.
la belle et grande idée à retenir ici: se mettre dans la peau d’un autre artiste nous fait sortir de notre zun de confort. ça nous fait découvrir un autre terrain de jeu et souvent en s’amusant car il n’y a pas le stress de réussir absolument. c’est un jeu.
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vin: choisir par l’étiquette?
acheter une bouteille de vin en se basant sur le design de l’étiquette, c’est tout à fait moi.
l’an dernier, lors d’un voyage à cap cod et devant toutes ces bouteilles jamais vues ici, j’ai eu plusieurs coups de coeur. heureusement pour nous, c’était mes amis qui choisissaient le vin…eh bien, je ne dois pas être tout à fait la seule. à lire, l’article de matthew latkiewicz «Maybe We Should Be Judging Wines by Their Labels» dans le new york magazine.
une analyse détaillée sur le sujet. après avoir répertorié tous les genres d’étiquettes, il nous fait part de son analyse. ça fait sourire, mais c’est, je crois, assez juste à plusieurs exceptions près.