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face à face
j’adore !
trouver des faces, des visages dans notre quotidien. pas celles des humains, mais les autres…
c’est un concept vieux comme la terre, mais qui me fait toujours sourire et chercher des personnages dans tout!des faces partout.
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de la typo classique, une mise en page qui l’est moins
tellement intéressant à voir. un roman policier typographié pour suivre l’enquête talmudique.
le roman «Apikoros Sleuth» écrit par Robert Majzels est notable pour la mise en page de cette version deluxe. je n’ai pas tout compris du propos, car, bien sûr, je ne l’ai pas lu. mais à regarder les quelques pages présentées sur le site, j’en retiens qu’ici, le texte devient une illustration typographique directe du roman. ce qui est assez rare.c’est le genre de chose qu’on voit en poésie, mais quasiment jamais avec un roman, sinon que pour y ajouter quelques illustrations. dommage. oui, ça coûte cher à produire, mais l’expérience de la lecture en serait tellement plus stimulante.
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expo 67 et l’arrivée du design
expo 67… eh oui!
quand je suis arrivée sur ce site, et que j’ai regardé la page dédiée au design de l’expo 67 , impossible de ne pas sourire.
le logo sur une série de produits dérivés. même la bière dow proposait une collection de capsules représentant tous les pavillons. ça donne le goût d’en voir plus ! c’est possible ici.de sherbrooke, mes parents venaient à montréal tous les lundis pour visiter une portion de l’expo. j’ai fait parti de quelques-uns de ces voyages. à cette époque, j’avais 7 ans, je n’avais pas l’oeil graphique que j’ai aujourd’hui. c’est à voir ces artefacts de l’évènement que j’ai réalisé ça.
est-ce parce que mon père est architecte que je me souviens autant de l’architecture de la plupart des pavillons et de l’expérience d’entrer dans des environnements bien loin de mon quotidien d’alors ?
autre aspect, imaginez la complexité d’organiser un évènement d’une telle ampleur sans fax, internet ou technologie d’aujourd’hui… misère.
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une histoire dans une valise
parce que j’aime le voyage, les valises m’intéressent. j’ai une nette préférence pour la génération de valises qu’on faisait avant le plastique moulé.
quelques fois j’en vois traîner dans les rues en attente du passage du camion de vidanges.la prof maira kalman, qui enseigne à school of visual arts à new york, écrit qu’elle a plusieurs valises qui traînent chez elle. non pas qu’elle parte en voyage, non, c’est plutôt qu’elle aime les regarder.
en lien avec sa «collection», elle a demandé à ses étudiants d’inventer une histoire qui pourrait habiter une valise. les résultats sont assez intéressants. à lire, les courtes descriptions écrites par les étudiants. c’est très varié et quelques fois très personnel.
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on adapte les cartons d’allumettes.
dans la dernière édition du new york magazine, un petit entrefilet que j’ai trouvé très amusant.
comme les restos sont devenus des endroits sans fumée, la pertinence du carton d’allumettes n’était plus au goût du jour. mais on est créatif ! cette petite pièce promotionnelle s’est adaptée à cette nouvelle réalité. l’objet est devenu : distributeur de cure-dents ou petite pochette de post-it. à suivre… -
des oiseaux pour l’unicef
difficile de passer sous silence le thème de la silhouette d’oiseau ces temps-ci. il semble être partout dans les produits imprimés : vaiselle, textile, magazine, etc.cette fois, les oiseaux sont utilisés pour une bonne cause et de manière assez originale.
deux graphistes de hannover en allemagne ont mis sur pied ce projet, «the little bird project ». ils ont demandé à des graphistes/illustrateurs de leur dessiner un oiseau avec de la personnalité.
le résultat est plein de vie en effet. tous les styles et les types de personnalités y sont représentés.
à partir des 200 participations, les deux graphistes ont mis en page une affiche en vente depuis le début du mois d’août. une grande partie du montant de la vente de cette affiche ira à l’unicef pour la cause «contre le travail des enfants en inde».
bien belle idée que de regrouper tous ces «volatiles» sur une même affiche. on ne peut que sourire à les voir défiler sous nos yeux dans la section «gallery».