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samedi dernier, visite du silo no 5
l’imposant silo no 5. est immanquable quand on arrive des cantons de l’est. même chose quand on se promène du coté ouest du vieux port.l’organisme héritage montréal offre cet été des visites du site désaffecté. le bâtiment central est en plaques de métal rivetées (impressionnant), celui à l’ouest est en béton et le plus grand et le plus récent, vers l’est, est aussi en béton, mais de structure différente.
nous sommes entrés brièvement dans le bâtiment central. les lieux sont à l’abandon depuis de nombreuses années. mais tout de même, c’est beaucoup plus gros et imposant que l’impression qu’on en a. on reste un peu sur sa faim, car il n’y a pas de visite sur les étages jugés trop dangereux pour le public. une belle découverte malgré tout. très photogénique comme endroit. j’ai mis plusieurs photos sur ma pages flickr.
pour ceux que ça intéresse, je crois qu’il ne reste plus de place. mais vu le succès, il y aura peut-être des supplémentaires…
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le cv transformé
à lire, l’article «the resume is dead, the bio is king», fort intéressant sur la transformation du cv vers la bio.
«Trust comes from personal disclosure. And that kind of sharing is hard to convey in a resume. Your bio needs to tell the bigger story.»suis-je la seule à «googler» le nom de quelqu’un nouvellement rencontré ou qui croise mon chemin? je ne crois pas…
je crois que ce réflexe vient du fait que nous cherchons une dimension plus large de cette personne que ce que fournirait un cv traditionnel. il n’y a pas que les compétences professionnelles qui sont importantes quand on travaille avec quelqu’un. on cherche à en savoir un peu plus sur la personne elle-même.
de là l’importance de se présente autrement.mais personne ne nous a expliqué comment s’y prendre. il ne s’agit pas ici de gonfler un ego, mais de faire un portrait plus large de la personne que nous sommes. cet article vous y aidera. on pose les bonnes questions, on fournit quelques pistes et on dit ce qu’il faut éviter.
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quelques histoires de photos
un court reportage intéressant sur l’histoire derrière quelques photos. il s’agit des personnalités retenues dans l’édition 2011 du time «most influencial people. ce n’est pas toujours des gens qu’on connait et c’est un des aspects intéressants de cette liste.pour en revenir au photographe martin schoeller, c’est éclairant de l’écouter expliquer son idée de départ et ce qui finalement… a fonctionné. malgré une préparation rigoureuse, il y a tellement d’inconnu et d’improvisation malgré tout dans une prise de vue. en voici un bel exemple.
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découverte! une grande femme photographe
le monde de la photographie a fait une belle découverte récemment, et par le fait même, nous aussi. les oeuvres photographiques de vivian maier, une nanny de chicago, ont fait surface il y a quelque temps. vivian a photographié la vie urbaine de 1950 à 1990.«Vivian’s work was discovered at an auction here in chicago where she resided most of her life. Her discovered work includes over 100,000 mostly medium format negatives, thousands of prints, and countless undeveloped rolls of film.»
le jeune john maloof a acheté, dans une vente aux enchères, une boite de rouleaux de film (et le reste du lot je crois). il découvre graduellement les photos vu l’étendu du travail de cette photographe à la vie bien secrète.
john a créé un blog et aussi un site sur le travail de vivian maier. on découvre une qualité de photos rare. c’est magnifique. on découvre une femme d’un rare talent. ça vaut vraiment le détour.
on peut voir un court reportage qui résume bien cette histoire ici.
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laisser une trace
écrire sa vie, ça pourrait être un beau projet créatif. mais nous ne sommes pas tous des auteurs expérimentés.pour nous aider à laisser une trace écrite de notre vie, l’auteur michael mcqueen a bâti une structure de livre intéressante. il cible les sujets qui ont du potentiel, pose les questions, ensuite, à vous de répondre. on peut voir quelques questions du livre sur le site (c’est écrit bien petit…).
le projet memento a commencé lors du décès de son père. il a passé à travers certains de ces journaux et carnets. ces bouts de textes ont pris, tout à coup, une grande valeur sentimentale et émotive. comme souvent, il a réalisé qu’il ne connaissait pas vraiment son père finalement…
quand je suis tombée là-dessus, j’ai trouvé que c’était une bonne idée.
l’équivalent existe peut-être en français, remarquez.vous aimerez peut être...
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je suis passée à pixelfed.social
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le cabinet de Logue
comme plusieurs d’entre nous sûrement, vous aurez vu le très beau film «The King’s Speech». je suis sortie du visionnement envoûté par l’ambiance du bureau de Logue, son thérapeute. pendant le film, j’observais minutieusement le décor en me demandant ce que je pourrais en faire chez nous. je voulais vivre là, y travailler, boire du thé et j’ajouterais même colin firth assis sur le divan élimé…à lire, cet article qui explique toute cette partie du film, les choix et lieux de tournage.
«The actual rooms Logue practised in were too small to film so the team found a building a block away, 33 Portland Place, which has an unusual vaulted room with large leaded windows at un end, reminiscent of a Venetian palace, and roof lights that make it look a bit like an artist’s studio and allow some light in on the pervasive gloom.
This room also has extraordinary walls, decorated in distressed browns and oranges like an exotic damaged fresco, if in autumnal colours. When the team arrived, un area was covered in wallpaper infused with oil, which had then been half-scraped, half-burned off. Eve Stewart, the production designer, loved the mottled, peeling effect so much that she decided to reproduce it across the whole wall. »
vraiment intéressant.
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