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farine five roses
quoi faire quand une annonce publicitaire oubliée, mais toujours présente décide de faire parler d’elle en disparaissant.
c’est le genre d’histoire qui arrive trop souvent ici.notre hisoire disparaît petit à petit. on rase rapidement ce qui supposément empêche le progrès. on a démoli de bien belles choses parce qu’on aimait mieux avoir du neuf.
«je me souviens» de quoi au juste comme société ?
le néon de la «farine five roses» qui nous accueille en entrant dans la ville vit ses dernières heures. quoi faire avec cet enseigne ? on sait pas trop. aucun système n’est mis en place pour ce genre de chose. comme d’habitude, on laisse aller jusqu’au moment où la récupération devient impossible à cause de l’état de délabrement. le nouveau propriétaire prend alors une décision définitive.
l’enseigne a tout de même inspiré quelques photographes, dont cette photo d’éléanor le gresley,
dernièrement un prof de concordia dédit un site internet à ce symbole publicitaire,
et on en parle dans le devoir. -
pub politique qui sort des sentiers battus
pour mieux comprendre l’importance du travail de rédaction en publicité, voir ce message jusqu’au bout.
brillant !
comme quoi la pub d’un parti politique peut être intelligente et sortir des sentiers battus.
à voir absolument. -
une forêt de bannières
pendant les mois de septembre et d’octobre prochain, le centre-ville de manhattan sera parsemé de 185 bannières. le thème imposé du projet «urban forest project» est l’arbre, comme forme ou métaphore. des artistes, photographes et graphistes oeuvrant dans cette partie de la ville ont participé à cette installation organisée par la société de time square et de l’AIGA.
après l’évènement, les bannières seront transformées/recyclées sous forme de sacs et les profits seront distribués en bourses d’études destinées aux jeunes en art visuel.
bien que l’idée du petit sapin «sensbon» est un peu trop utilisée (facile de voir un premier niveau en créativité), il y plusieurs bannières forts intéressantes, à partir des chiffres au dessus de 100.
à savoir si ce projet aura une incidence dans la ville… je me pose la question.
d’un format relativement petit pour un projet extérieur (2 x 4 pieds), installées à plusieurs pieds du sol et de design très différent d’une à l’autre, on ne peut compter sur l’effet de répétition pour l’impact. de plus, à travers toutes les signalisations commerciales extérieures plutôt criardes, est-ce que les bannières vont en ajouter où vont-elles nous faire respirer ?
à voir. en tous les cas, ça vaut sûrement la peine d’essayer. -
mon blog en graphique, c’est beau !
petit programme, sûrement complexe, qui fait un bien beau graphique du site internet de votre choix avec ses liens, ses tags, etc. chaque couleur possède sa symbolique. mais je m’y perds un peu dans tout ce jargon. j’avoue.
ci-dessus, j’ai fait celui de mon blog.
ici, la galerie de tous et chacun sur flickr. -
charmants personnages
découvert cet illustrateur de toronto, gordon wiebe, qui utilise à la fois le collage et l’acrylique pour arriver à ses fins.
il a été retenu par l’équipe du how magazine dans son numéro spécial sur l’illustration (août 2006).
à voir pour le charme de ses personnages. -
historique !
la une du journal the gazette de ce vendredi
🙂
on en parle ici.
à voir aussi la campagne de pub qui y est reliée.